Le chef druze Walid Joumblatt s’est prononcé contre le choix d’un «président marqué politiquement» pour succéder à Michel Aoun, dans une interview accordée mercredi à notre confrère L’Orient-Le Jour.
«Essayons de trouver un président capable de gérer la crise mais qui ait aussi un background économique, financier et politique sans qu’il ne soit nécessairement issu d’un parti quelconque», a-t-il dit, estimant que «le Hezbollah pourra tolérer un président technocrate ou rassembleur tant que celui-ci ne va pas tenter de faire de la provocation et s’amuser à ressusciter les questions litigieuses à l’instar de la mise en œuvre de la 1559».
Il n’en demeure pas moins qu’il a considéré que «le simple fait que Hassan Nasrallah (chef du Hezbollah) ait appelé dans une de ses récentes déclarations à mettre sur pied un gouvernement doté des prérogatives nécessaires, signifie que l’élection présidentielle risque de prendre du temps».
Selon M. Joumblatt, le président actuel Michel Aoun, et son gendre, le chef du CPL Gebran Bassil ne vont pas faciliter cette échéance.
«Essayons de trouver un président capable de gérer la crise mais qui ait aussi un background économique, financier et politique sans qu’il ne soit nécessairement issu d’un parti quelconque», a-t-il dit, estimant que «le Hezbollah pourra tolérer un président technocrate ou rassembleur tant que celui-ci ne va pas tenter de faire de la provocation et s’amuser à ressusciter les questions litigieuses à l’instar de la mise en œuvre de la 1559».
Il n’en demeure pas moins qu’il a considéré que «le simple fait que Hassan Nasrallah (chef du Hezbollah) ait appelé dans une de ses récentes déclarations à mettre sur pied un gouvernement doté des prérogatives nécessaires, signifie que l’élection présidentielle risque de prendre du temps».
Selon M. Joumblatt, le président actuel Michel Aoun, et son gendre, le chef du CPL Gebran Bassil ne vont pas faciliter cette échéance.
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