Salim Aoun, député du groupe parlementaire le Liban fort (courant aouniste), a estimé vendredi qu’«un gouvernement d’expédition des affaires courantes n’a pas les prérogatives d’un président de la République». Comme la possibilité d’une vacance présidentielle n’est pas écartée, «il est préférable d’aboutir à la formation d’un gouvernement qui soit en bonne et due forme», a-t-il ajouté lors d’une interview accordée à la Voix de tout le Liban.
M. Aoun a en outre affirmé que «le Courant patriotique libre n’est pas attaché à la nomination d’un candidat à la présidence, mais celui-ci doit être soutenu par une partie qui a une représentativité parlementaire».
Et de conclure que le Liban est devant deux options: soit la formation d’un gouvernement, soit «un grand problème».
M. Aoun a en outre affirmé que «le Courant patriotique libre n’est pas attaché à la nomination d’un candidat à la présidence, mais celui-ci doit être soutenu par une partie qui a une représentativité parlementaire».
Et de conclure que le Liban est devant deux options: soit la formation d’un gouvernement, soit «un grand problème».
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