Ce 23 août, le parti Kataëb a célébré le 40e anniversaire de l’élection de Bachir Gemayel à la présidence de la République. Trois semaines seulement après son élection, le dirigeant chrétien est assassiné, le 14 septembre 1982.
Pour lui rendre hommage, ainsi qu’aux martyrs du parti, les Kataëb ont inauguré une plaque commémorative à la permanence du parti à Achrafieh.
«Si Bachir était encore là, il n’y aurait pas eu d’État sans président, sous tutelle iranienne. Nous souhaitons un État indépendant et souverain», estime son fils Nadim Gemayel, député Kataëb de Beyrouth I. «Respecter son héritage, c’est défendre les valeurs de ce pays, défendre notre identité et notre futur», ajoute-t-il.
Avec le début du délai constitutionnel pour l’élection d’un nouveau président de la République, début septembre, les Kataëb appellent le chef du Parlement, Nabih Berry, à convoquer la Chambre au plus vite pour remplacer, le président sortant Michel Aoun.
Pour lui rendre hommage, ainsi qu’aux martyrs du parti, les Kataëb ont inauguré une plaque commémorative à la permanence du parti à Achrafieh.
«Si Bachir était encore là, il n’y aurait pas eu d’État sans président, sous tutelle iranienne. Nous souhaitons un État indépendant et souverain», estime son fils Nadim Gemayel, député Kataëb de Beyrouth I. «Respecter son héritage, c’est défendre les valeurs de ce pays, défendre notre identité et notre futur», ajoute-t-il.
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