Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a estimé lundi que «les 128 députés seront responsables des conséquences qu’aura le vide présidentiel sur la société libanaise». Pour Saydet el-Jabal, les députés de l’opposition ont une «double responsabilité» à cet égard, «du fait des promesses de changement» faites dans le cadre de leur campagne législative.
Au terme de sa réunion hebdomadaire, le rassemblement a affirmé que «le Liban est à nouveau dans une phase dangereuse aux niveaux politique, social et sécuritaire, alors que la menace d’assassinats politiques resurgit». Il a également critiqué les députés et forces politiques qui ne déploient pas les efforts nécessaires ni n'exercent de pressions pour faire respecter les délais constitutionnels. Ils se comportent «comme si le vide présidentiel était réel et inévitable, construisant leurs politiques sur cette base et comblant le temps perdu par des discours», lit-on dans le communiqué.
Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a réitéré son appel à l’opposition pour qu’elle s’unisse afin de faire face au projet iranien porté par le Hezbollah et d’élire un «président à l’allégeance libanaise à la tête de la République libanaise». Dans le cas contraire, ce sera «un président à l’allégeance iranienne à la tête de la République libanaise», lit-on dans le communiqué.
Au terme de sa réunion hebdomadaire, le rassemblement a affirmé que «le Liban est à nouveau dans une phase dangereuse aux niveaux politique, social et sécuritaire, alors que la menace d’assassinats politiques resurgit». Il a également critiqué les députés et forces politiques qui ne déploient pas les efforts nécessaires ni n'exercent de pressions pour faire respecter les délais constitutionnels. Ils se comportent «comme si le vide présidentiel était réel et inévitable, construisant leurs politiques sur cette base et comblant le temps perdu par des discours», lit-on dans le communiqué.
Le Rassemblement de Saydet el-Jabal a réitéré son appel à l’opposition pour qu’elle s’unisse afin de faire face au projet iranien porté par le Hezbollah et d’élire un «président à l’allégeance libanaise à la tête de la République libanaise». Dans le cas contraire, ce sera «un président à l’allégeance iranienne à la tête de la République libanaise», lit-on dans le communiqué.
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