Le président de la Chambre, Nabih Berry, a annoncé l’ouverture du débat budgétaire pour le 14 septembre, jour de la commémoration de l’assassinat du président Bachir Gemayel et de ses compagnons, en 1982, dans un attentat à l’explosif à Achrafieh.
La date fixée par le président de la Chambre Nabih Berry pour l’examen du projet de Budget 2022, le 14 septembre, est «pour le moins surprenante», a commenté le député Nadim Gemayel, fils du président assassiné.
«Le 14 septembre est la date de l’assassinat de Béchir Gemayel. Depuis quarante ans, il s’agit d’une journée de deuil pour un grand nombre de Libanais. Le président Berry aurait-il convoqué une réunion de cette importance le jour de la commémoration de la disparition de l’imam Moussa Sadr»? a-t-il écrit sur son compte Twitter.
«De toute façon, a-t-il ajouté, le mot de la fin revient aux députés. Il y aura ceux qui voudront participer au débat budgétaire et ceux qui souhaiteront participer à la cérémonie commémorative», mercredi.
Chaque année depuis quarante ans, les Kataëb commémorent l’assassinat de leur chef par une messe à laquelle prend part un grand nombre de personnalités.
«Pour rappel, a encore écrit M. Gemayel, la réunion consacrée à l’examen du projet de Budget intervient avec neuf mois de retard. Elle aurait pu être convoquée avant le 14 ou le 15 par exemple».
La date fixée par le président de la Chambre Nabih Berry pour l’examen du projet de Budget 2022, le 14 septembre, est «pour le moins surprenante», a commenté le député Nadim Gemayel, fils du président assassiné.
«Le 14 septembre est la date de l’assassinat de Béchir Gemayel. Depuis quarante ans, il s’agit d’une journée de deuil pour un grand nombre de Libanais. Le président Berry aurait-il convoqué une réunion de cette importance le jour de la commémoration de la disparition de l’imam Moussa Sadr»? a-t-il écrit sur son compte Twitter.
«De toute façon, a-t-il ajouté, le mot de la fin revient aux députés. Il y aura ceux qui voudront participer au débat budgétaire et ceux qui souhaiteront participer à la cérémonie commémorative», mercredi.
Chaque année depuis quarante ans, les Kataëb commémorent l’assassinat de leur chef par une messe à laquelle prend part un grand nombre de personnalités.
«Pour rappel, a encore écrit M. Gemayel, la réunion consacrée à l’examen du projet de Budget intervient avec neuf mois de retard. Elle aurait pu être convoquée avant le 14 ou le 15 par exemple».
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