Les députés du changement ont poursuivi mardi une série de visites auprès des différents blocs parlementaires pour présenter leur initiative présidentielle.
Les députés Michel Doueihy, Melhem Khalaf, Firas Hamdan, Yassine Yassine et Cynthia Zarazir se sont rendus auprès du chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, pour discuter de l’échéance présidentielle. Les parlementaires réunis se sont mis d’accord sur «la nécessité d'élire un chef de l’État, de libaniser l’échéance présidentielle et d’éviter un vide à la magistrature suprême».
Les élus issus du mouvement de contestation ont par la suite été reçus par les membres du bloc du Renouveau (Michel Mouawad, Adib Abdel Massih, Fouad Makhzoumi et Achraf Rifi) à Sin el-Fil. À l’issue de leur rencontre, le député Marc Daou a insisté sur la tenue de l’élection présidentielle dans les délais, expliquant que la discussion avec le bloc du Renouveau s'inscrivait dans ce contexte. Et d’ajouter: «Nous devons faire en sorte que cette prochaine échéance soit libanaise pour protéger ce pays et sa Constitution».
De son côté, le député Fouad Makhzoumi a salué les points en commun avec les élus du mouvement du 17 octobre «dans le fond et dans la forme de l’initiative présidentielle dont le but est de parvenir à élire un président souverainiste capable de mettre en œuvre des solutions adéquates à la crise que traverse le Liban».
Sur un autre plan, une autre délégation de députés de la contestation formée par Paula Yacoubian, Waddah Sadek et Firas Hamdan s’est entretenue avec des parlementaires du bloc du Développement et de la libération (Michel Moussa, Ali Hassan Khalil, Ayyoub Homayed et Kassem Hachem) à Aïn el-Tiné pour discuter de l’échéance présidentielle.
Les députés Michel Doueihy, Melhem Khalaf, Firas Hamdan, Yassine Yassine et Cynthia Zarazir se sont rendus auprès du chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, pour discuter de l’échéance présidentielle. Les parlementaires réunis se sont mis d’accord sur «la nécessité d'élire un chef de l’État, de libaniser l’échéance présidentielle et d’éviter un vide à la magistrature suprême».
Les élus issus du mouvement de contestation ont par la suite été reçus par les membres du bloc du Renouveau (Michel Mouawad, Adib Abdel Massih, Fouad Makhzoumi et Achraf Rifi) à Sin el-Fil. À l’issue de leur rencontre, le député Marc Daou a insisté sur la tenue de l’élection présidentielle dans les délais, expliquant que la discussion avec le bloc du Renouveau s'inscrivait dans ce contexte. Et d’ajouter: «Nous devons faire en sorte que cette prochaine échéance soit libanaise pour protéger ce pays et sa Constitution».
De son côté, le député Fouad Makhzoumi a salué les points en commun avec les élus du mouvement du 17 octobre «dans le fond et dans la forme de l’initiative présidentielle dont le but est de parvenir à élire un président souverainiste capable de mettre en œuvre des solutions adéquates à la crise que traverse le Liban».
Sur un autre plan, une autre délégation de députés de la contestation formée par Paula Yacoubian, Waddah Sadek et Firas Hamdan s’est entretenue avec des parlementaires du bloc du Développement et de la libération (Michel Moussa, Ali Hassan Khalil, Ayyoub Homayed et Kassem Hachem) à Aïn el-Tiné pour discuter de l’échéance présidentielle.
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