Longtemps muselé et après avoir trouvé le poteau, Erling Haaland a fini par terrasser son ancien club, Dortmund, pour offrir une victoire à l'arrachée (2-1) à Manchester City, mercredi, lors de la deuxième journée de la Ligue des Champions dans le groupe G.
"Ils n'ont pas réussi à m'arrêter, puisque j'ai marqué. Mais ils ont bien joué, ils ont été bons", a fanfaronné l'attaquant, après le match, au micro de BT Sports.
On a pourtant longtemps cru que le piège anti-Haaland des jaunes et noirs allait fonctionner, mais à six minutes du terme, le Norvégien s'est envolé aux six mètres pour catapulter acrobatiquement le ballon au fond des filets sur un centre de Joao Cancelo et inscrire son 13e but en 8 matches cette saison (2-1, 84e).
"Il n'y a pas beaucoup de joueurs au monde capables de marquer" ce but, a reconnu, beau joueur, le coach de Dortmund, Edin Terzic. "On en a profité les dernières années et c'est rageant et amer qu'il les marque maintenant pour les Anglais", a-t-il ajouté.
"C'était un très beau but et la passe décisive est magnifique aussi (mais...) la finition de Haaland est exceptionnelle", a aussi estimé Pep Guardiola, qui a comparé ce but de Haaland à des gestes de Johan Cruyff pour son côté instinctif ou Zlatan Ibrahimovic pour le côté aérien.
Haaland a, en tout cas, tiré son équipe, une fois de plus, d'un bien mauvais pas et Dortmund peut repartir avec des regrets après avoir mené 1-0 et contenu longtemps son ancien avant-centre.
Pep Guardiola, cinquième entraîneur à atteindre la barre des 150 matches en C1, avait été interrogé avant le match sur l'avantage que pouvait représenter pour les Allemands le fait de bien connaître Erling Haaland, joueur du Borussia pendant deux ans et demi.
La relative discrétion du Norvégien jusqu'à son but peut laisser penser que ça n'a effectivement pas été anodin.
On pensera notamment au superbe et très opportun sauvetage d'un tacle glissé de Mats Hummels à la 72e, sur un centre de Phil Foden, alors qu'Haaland rodait derrière lui pour pousser le ballon au fond.
Six minutes plus tôt, à la réception d'une superbe passe lobée sans contrôle de Kevin De Bruyne, Haaland, au coin des six mètre, avait touché l'extérieur du poteau.
Mais en trouvant finalement le chemin du but, il a une nouvelle fois montré qu'il était de la trempe des très grands finisseurs et l'ovation debout du stade à sa sortie (90+1) était plus que méritée.
L'éclair de Stones, la magie Haaland
Avant cela, City avait longtemps buté sur le mur jaune et noir, ne se créant guère d'occasion au cours d'une première période animée mais stérile, observée par un Guardiola tour à tour hors de lui puis dépité sur la touche.
Au retour des vestiaires, ce sont les Allemands qui ont le mieux démarré sous l'impulsion de Marco Reus qui a d'abord raté de peu le cadre (52e) avant d'adresser un centre tendu au premier poteau à Jude Bellingham, qui a surpris Ederson, parti vers son deuxième poteau (0-1, 56e).
Guardiola a ensuite sorti Riyad Mahrez, Jack Grealish et Ilkay Gündogan, remplacés par Julian Alvarez, Phil Foden et Bernardo Silva - un changement prévu avant le but - et avec un Dortmund qui cherchait alors à garder son maigre avantage, le reste a été un long exercice d'attaque-défense.
Mais City n'est pas invaincu à domicile en Ligue des Champions depuis presque quatre ans et une visite de Lyon (1-2) pour rien.
Il a fallu attendre la 80e minute et un éclair du pied gauche de John Stones, de 22 mètres, pour voir City revenir à 1-1 avant que la magie Haaland ne se produise.
Avec six points sur six et la perspective d'affronter deux fois Copenhague, l'équipe la plus faible du groupe, City est déjà très bien parti pour une nouvelle qualification en huitième de finales. Et Haaland pour soigner ses statistiques: depuis le début de sa carrière, il en est désormais à 26 buts marqués en 21 matches de C1.
"Ils n'ont pas réussi à m'arrêter, puisque j'ai marqué. Mais ils ont bien joué, ils ont été bons", a fanfaronné l'attaquant, après le match, au micro de BT Sports.
On a pourtant longtemps cru que le piège anti-Haaland des jaunes et noirs allait fonctionner, mais à six minutes du terme, le Norvégien s'est envolé aux six mètres pour catapulter acrobatiquement le ballon au fond des filets sur un centre de Joao Cancelo et inscrire son 13e but en 8 matches cette saison (2-1, 84e).
"Il n'y a pas beaucoup de joueurs au monde capables de marquer" ce but, a reconnu, beau joueur, le coach de Dortmund, Edin Terzic. "On en a profité les dernières années et c'est rageant et amer qu'il les marque maintenant pour les Anglais", a-t-il ajouté.
"C'était un très beau but et la passe décisive est magnifique aussi (mais...) la finition de Haaland est exceptionnelle", a aussi estimé Pep Guardiola, qui a comparé ce but de Haaland à des gestes de Johan Cruyff pour son côté instinctif ou Zlatan Ibrahimovic pour le côté aérien.
Haaland a, en tout cas, tiré son équipe, une fois de plus, d'un bien mauvais pas et Dortmund peut repartir avec des regrets après avoir mené 1-0 et contenu longtemps son ancien avant-centre.
Pep Guardiola, cinquième entraîneur à atteindre la barre des 150 matches en C1, avait été interrogé avant le match sur l'avantage que pouvait représenter pour les Allemands le fait de bien connaître Erling Haaland, joueur du Borussia pendant deux ans et demi.
La relative discrétion du Norvégien jusqu'à son but peut laisser penser que ça n'a effectivement pas été anodin.
On pensera notamment au superbe et très opportun sauvetage d'un tacle glissé de Mats Hummels à la 72e, sur un centre de Phil Foden, alors qu'Haaland rodait derrière lui pour pousser le ballon au fond.
Six minutes plus tôt, à la réception d'une superbe passe lobée sans contrôle de Kevin De Bruyne, Haaland, au coin des six mètre, avait touché l'extérieur du poteau.
Mais en trouvant finalement le chemin du but, il a une nouvelle fois montré qu'il était de la trempe des très grands finisseurs et l'ovation debout du stade à sa sortie (90+1) était plus que méritée.
L'éclair de Stones, la magie Haaland
Avant cela, City avait longtemps buté sur le mur jaune et noir, ne se créant guère d'occasion au cours d'une première période animée mais stérile, observée par un Guardiola tour à tour hors de lui puis dépité sur la touche.
Au retour des vestiaires, ce sont les Allemands qui ont le mieux démarré sous l'impulsion de Marco Reus qui a d'abord raté de peu le cadre (52e) avant d'adresser un centre tendu au premier poteau à Jude Bellingham, qui a surpris Ederson, parti vers son deuxième poteau (0-1, 56e).
Guardiola a ensuite sorti Riyad Mahrez, Jack Grealish et Ilkay Gündogan, remplacés par Julian Alvarez, Phil Foden et Bernardo Silva - un changement prévu avant le but - et avec un Dortmund qui cherchait alors à garder son maigre avantage, le reste a été un long exercice d'attaque-défense.
Mais City n'est pas invaincu à domicile en Ligue des Champions depuis presque quatre ans et une visite de Lyon (1-2) pour rien.
Il a fallu attendre la 80e minute et un éclair du pied gauche de John Stones, de 22 mètres, pour voir City revenir à 1-1 avant que la magie Haaland ne se produise.
Avec six points sur six et la perspective d'affronter deux fois Copenhague, l'équipe la plus faible du groupe, City est déjà très bien parti pour une nouvelle qualification en huitième de finales. Et Haaland pour soigner ses statistiques: depuis le début de sa carrière, il en est désormais à 26 buts marqués en 21 matches de C1.
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