Le ministre sortant des Finances Youssef el-Khalil s’est réuni lundi avec la délégation du FMI, pour tenter de défendre le budget de 2022 qui ne vise, d’après lui, "qu'à répondre aux besoins fondamentaux de la population en matière d'alimentation, de santé et d'éducation".
Le président de la Chambre Nabih Berry a reçu lundi à Aïn el-Tiné le chef de mission du Fonds Monétaire International Ernesto Rigo Ramirez, ainsi qu’une délégation de l’instance internationale, pour discuter des modalités du plan du contesté.
M. Berry a réitéré dans ce contexte "l’importance pour le Parlement de poursuivre ses efforts en matière de réformes" et l’a appelé "à coopérer avec le pouvoir exécutif pour préserver les droits des déposants".
Par ailleurs, le ministre sortant des Finances Youssef el-Khalil s’est également réuni avec la délégation du FMI, pour tenter de défendre le budget de 2022 qui ne vise, d’après lui, "qu'à répondre aux besoins fondamentaux de la population en matière d'alimentation, de santé et d'éducation". "Nous avons été très critiqués ces derniers jours; alors que nous n'avons que ce pauvre budget, préparé il y a près d'un an, et dont la plupart des points ont été étudiés avec le FMI", a-t-il indiqué, à l’issue de son aparté avec la délégation, en faisant référence aux débats budgétaires qui ont tourné au vinaigre et résulté en un report de la séance parlementaire.
Le président de la Chambre Nabih Berry a reçu lundi à Aïn el-Tiné le chef de mission du Fonds Monétaire International Ernesto Rigo Ramirez, ainsi qu’une délégation de l’instance internationale, pour discuter des modalités du plan du contesté.
M. Berry a réitéré dans ce contexte "l’importance pour le Parlement de poursuivre ses efforts en matière de réformes" et l’a appelé "à coopérer avec le pouvoir exécutif pour préserver les droits des déposants".
Par ailleurs, le ministre sortant des Finances Youssef el-Khalil s’est également réuni avec la délégation du FMI, pour tenter de défendre le budget de 2022 qui ne vise, d’après lui, "qu'à répondre aux besoins fondamentaux de la population en matière d'alimentation, de santé et d'éducation". "Nous avons été très critiqués ces derniers jours; alors que nous n'avons que ce pauvre budget, préparé il y a près d'un an, et dont la plupart des points ont été étudiés avec le FMI", a-t-il indiqué, à l’issue de son aparté avec la délégation, en faisant référence aux débats budgétaires qui ont tourné au vinaigre et résulté en un report de la séance parlementaire.
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