Le numéro deux du Hezbollah, cheikh Naïm Qassem, a annoncé qu’un nouveau gouvernement verrait le jour la semaine prochaine.
S’exprimant au cours d’une cérémonie estudiantine à Beyrouth, le vice-secrétaire général du Hezbollah a fait état d’un « rapprochement de vues entre le président Michel Aoun et le Premier ministre désigné, Najib Mikati, après l’aplanissement des obstacles qui les empêchaient de trouver un terrain d’entente » autour de la composition de la nouvelle équipe ministérielle. Selon lui, ce rapprochement « facilitera la naissance du cabinet ». « Il s’agit d’un pas positif qui va à son tour contribuer à faciliter les préparatifs pour la présidentielle », a-t-il ajouté.
Le Hezbollah avait joué le rôle de médiateur pour un déblocage gouvernemental. La formation de Hassan Nasrallah aurait réussi à convaincre le camp présidentiel de lâcher du lest pour favoriser la naissance d’un cabinet doté des pleins pouvoirs, avant la fin du mandat du président Michel Aoun, dans le principal but d’éviter les complications nées d’un vide au niveau de l’Exécutif si jamais un nouveau chef de l’Etat n’est pas élu dans les délais.
Michel Aoun qui tenait à un gouvernement de trente ministres, avec six nouvelles figures qui permettraient à son camp d’avoir la minorité de blocage au sein de la nouvelle équipe, aurait fini par accepter un remaniement du cabinet actuel.
Ce sont notamment les ministres des Affaires étrangères, de l’Economie, des Finances et des Affaires des déplacés qui devraient être remplacés. Il est déjà question d’Amal Abou Zeid, ancien député et conseiller de M. Aoun pour les affaires russes, aux Affaires étrangères, à la place d’Abdallah Bou Habib, et de Yassine Jaber, ancien député du bloc du président de la Chambre, Nabih Berry, à la tête des Finances, en remplacement de Youssef Khalil. Les noms des remplaçants d’Amine Salam à l’Economie, et d’Issam Charafeddine aux Affaires des déplacés, doivent semble-t-il faire l’objet de discussions supplémentaires entre MM. Aoun et Mikati, après la fin du débat budgétaire, prévu lundi. Des noms de candidats à l’Economie et aux Affaires des déplacés ont déjà été avancés mais ils ne sont pas définitifs.
S’exprimant au cours d’une cérémonie estudiantine à Beyrouth, le vice-secrétaire général du Hezbollah a fait état d’un « rapprochement de vues entre le président Michel Aoun et le Premier ministre désigné, Najib Mikati, après l’aplanissement des obstacles qui les empêchaient de trouver un terrain d’entente » autour de la composition de la nouvelle équipe ministérielle. Selon lui, ce rapprochement « facilitera la naissance du cabinet ». « Il s’agit d’un pas positif qui va à son tour contribuer à faciliter les préparatifs pour la présidentielle », a-t-il ajouté.
Le Hezbollah avait joué le rôle de médiateur pour un déblocage gouvernemental. La formation de Hassan Nasrallah aurait réussi à convaincre le camp présidentiel de lâcher du lest pour favoriser la naissance d’un cabinet doté des pleins pouvoirs, avant la fin du mandat du président Michel Aoun, dans le principal but d’éviter les complications nées d’un vide au niveau de l’Exécutif si jamais un nouveau chef de l’Etat n’est pas élu dans les délais.
Michel Aoun qui tenait à un gouvernement de trente ministres, avec six nouvelles figures qui permettraient à son camp d’avoir la minorité de blocage au sein de la nouvelle équipe, aurait fini par accepter un remaniement du cabinet actuel.
Ce sont notamment les ministres des Affaires étrangères, de l’Economie, des Finances et des Affaires des déplacés qui devraient être remplacés. Il est déjà question d’Amal Abou Zeid, ancien député et conseiller de M. Aoun pour les affaires russes, aux Affaires étrangères, à la place d’Abdallah Bou Habib, et de Yassine Jaber, ancien député du bloc du président de la Chambre, Nabih Berry, à la tête des Finances, en remplacement de Youssef Khalil. Les noms des remplaçants d’Amine Salam à l’Economie, et d’Issam Charafeddine aux Affaires des déplacés, doivent semble-t-il faire l’objet de discussions supplémentaires entre MM. Aoun et Mikati, après la fin du débat budgétaire, prévu lundi. Des noms de candidats à l’Economie et aux Affaires des déplacés ont déjà été avancés mais ils ne sont pas définitifs.
Lire aussi
Commentaires