Jeanine Hennis-Plasschaert, coordinatrice spéciale des Nations unies pour le Liban. ©wikimedia.org
La coordinatrice spéciale des Nations unies pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert, a appelé, mercredi, à “un cessez-le-feu immédiat” au Liban afin de permettre la mise en place d’une résolution diplomatique du conflit armé.
"Il est temps que tous les acteurs concernés (Israël et le Hezbollah) cessent immédiatement leurs tirs et ouvrent la voie à des solutions diplomatiques capables de répondre aux besoins des citoyens et de faire progresser la stabilité régionale", a-t-elle avancé dans un communiqué publié sur la plateforme X.
Dans ce contexte, Mme Plasschaert a affirmé que "les solutions militaires ne garantiront pas la sécurité des deux côtés de la Ligne bleue".
Elle a également exprimé ses préoccupations quant à l'augmentation des échanges de tirs, qui "continuent de se propager" au Liban, soulignant "les souffrances des civils qui atteignent des niveaux sans précédent".
"Les violations du droit humanitaire international sont tout à fait inacceptables. Les civils et les infrastructures civiles doivent être protégés à tout moment", a-t-elle conclu.
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