Antoun Sehnaoui dénonce une campagne diffamatoire motivée par un règlement de comptes
©Ici Beyrouth

Dans un communiqué publié mardi, l’avocate Cynthia Georges Ephrem, a dénoncé une campagne diffamatoire visant son client, Antoun Sehnaoui, à des fins de règlement de comptes.

«Les Libanais sont lassés d’entendre, à chaque incident malheureux ou crime odieux, certains s’empresser d’accuser injustement M. Antoun Sehnaoui des faits, au point que cela en devient risible pour l’opinion publique», écrit Mme Ephrem. «Comme si l’expression «c’est la faute des Italiens» avait été remplacée aujourd’hui, par certains individus mal intentionnés, par «c’est la faute à Sehnaoui». Ces accusations répétées relèvent d’une volonté manifeste de régler des comptes politiques ou de poursuivre des objectifs personnels et électoraux que nul ne peut ignorer», précise-t-elle.

«La dernière de ces campagnes douteuses a surgi dans le sillage d’un crime abominable: l’agression perpétrée par un individu dérangé contre deux femmes. À ce propos, et en qualité de représentante légale de M. Sehnaoui, je tiens à préciser les points suivants:

1.⁠ ⁠M. Sehnaoui condamne fermement cette agression violente et exprime sa totale solidarité avec les victimes. Il appelle les forces de l’ordre et l’autorité judiciaire compétente à prendre les mesures les plus fermes à l’encontre de l’auteur des faits et à lui infliger les sanctions les plus sévères, prévues par la loi».

2.⁠ ⁠M. Sehnaoui n’entretient aucun lien, de quelque nature que ce soit, avec le dénommé Tony Felfli. Ce dernier n’a jamais été employé par lui, ni directement ni au sein de ses entreprises. Toute tentative visant à établir un lien entre eux constitue une diffamation caractérisée, révélatrice d’intentions malveillantes et préjudiciables.

3.⁠ ⁠Les récentes campagnes hostiles sont menées par des acteurs identifiables, dont une députée de la région d’Achrafieh, qui tente d’instrumentaliser des groupes féministes et des comptes sur les réseaux sociaux en leur transmettant de fausses informations, présentées comme ayant été « relayées par des activistes », alors qu’elles sont totalement dénuées de fondement. Certains médias, connus pour leurs agendas biaisés, ont également contribué à leur diffusion.

Ces agissements diffamatoires exposent leurs auteurs à des poursuites judiciaires pour atteinte à la réputation de M. Sehnaoui. En conséquence, nous mettons en garde toutes les personnes impliquées : toute récidive dans la propagation de fausses accusations donnera lieu à des actions en justice.

 

La campagne diffamatoire contre M. Sehnaoui a été lancée neuf jours après la publication par les FSI, d’un communiqué faisant état de l’arrestation d’un ravisseur de deux femmes, qui ont été soumises à des actes de violence.

 

Commentaires
  • Aucun commentaire