Quatre ans après la tragédie du port de Beyrouth, la caserne des pompiers de la Quarantaine reste un lieu de mémoire. C’est d’ici que sont partis les premiers secouristes, dont dix ne sont jamais revenus. Avant le début de la commémoration, les familles des victimes et les citoyens commencent à se rassembler.


Deux marches silencieuses sont prévues en fin d’après-midi: l’une depuis la caserne, l’autre depuis la place des Martyrs. Elles convergeront devant la statue de l’Émigré, face au port.

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