
À la veille du 43e anniversaire de l'assassinat du président Bachir Gemayel (14 septembre), le chef de l’État, Joseph Aoun, a estimé que son assassinat «n’a pas seulement privé le Liban d’un président ou d’un leader politique, mais représentait aussi une tentative de tuer un rêve libanais authentique. Or les rêves ne meurent pas avec ceux qui les portent, ils demeurent vivants dans le cœur de ceux qui y croient et œuvrent à les réaliser».
«Le président martyr incarnait la détermination à construire un Liban fort et uni. Il croyait à la capacité des Libanais à dépasser leurs divisions pour édifier un pays libre et indépendant, fondé sur des institutions solides et une justice équitable. Aujourd’hui encore, les principes pour lesquels il a sacrifié sa vie demeurent des constantes nationales partagées par tous: un Liban libre, souverain et indépendant, où ses enfants vivent dans la dignité et la sécurité.»
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