L’émissaire américain chargé des négociations indirectes entre le Liban et Israël, Amos Hochstein, devrait examiner les éclaircissements réclamés par le pouvoir libanais et en discuter avec les Israéliens avant de présenter dans les prochains jours une mouture modifiée de l’accord.
Le président de la République Michel Aoun a suivi mardi les développements liés à l’élaboration de la réponse libanaise, qui devrait être incessamment envoyée au médiateur américain chargé du dossier de la délimitation de la frontière maritime avec Israël, Amos Hochstein.
Parallèlement, le vice-président de la Chambre, Élias Bou Saab a rencontré l’ambassadrice des États-Unis au Liban, Dorothy Shea pour lui communiquer les remarques issues de la réunion des trois pôles du pouvoir (qui avait eu lieu lundi au palais de Baabda) concernant la proposition américaine.
Mme Shea, pour sa part, a insisté sur "la nécessité de finaliser l’élaboration de la réponse libanaise au plus vite", soulignant que "la clôture de ce dossier dans les plus brefs délais demeure une priorité pour les États-Unis".
En effet, de nombreuses interrogations nécessitant une réponse claire et ferme entourent la réunion tripartite de Baabda. Au nombre de celles-ci la position à adopter concernant la zone de sécurité souhaitée par Israël et qui est située entre les lignes 1 et 23, sur une longueur de 5 kilomètres au large de la côte, le but recherché étant de préserver un contrôle libanais sur cette zone. À cela s’ajoutent la position à adopter concernant la partie sud du champ gazier de Cana qui se situe au sud de la ligne 23 et les risques de longues négociations entre Israël et la société Total concernant les redevances que cette dernière doit verser à l’État hébreu en fonction des quantités de gaz et de pétrole qui seraient extraites de ce champ.
Le président de la République Michel Aoun a suivi mardi les développements liés à l’élaboration de la réponse libanaise, qui devrait être incessamment envoyée au médiateur américain chargé du dossier de la délimitation de la frontière maritime avec Israël, Amos Hochstein.
Parallèlement, le vice-président de la Chambre, Élias Bou Saab a rencontré l’ambassadrice des États-Unis au Liban, Dorothy Shea pour lui communiquer les remarques issues de la réunion des trois pôles du pouvoir (qui avait eu lieu lundi au palais de Baabda) concernant la proposition américaine.
Mme Shea, pour sa part, a insisté sur "la nécessité de finaliser l’élaboration de la réponse libanaise au plus vite", soulignant que "la clôture de ce dossier dans les plus brefs délais demeure une priorité pour les États-Unis".
En effet, de nombreuses interrogations nécessitant une réponse claire et ferme entourent la réunion tripartite de Baabda. Au nombre de celles-ci la position à adopter concernant la zone de sécurité souhaitée par Israël et qui est située entre les lignes 1 et 23, sur une longueur de 5 kilomètres au large de la côte, le but recherché étant de préserver un contrôle libanais sur cette zone. À cela s’ajoutent la position à adopter concernant la partie sud du champ gazier de Cana qui se situe au sud de la ligne 23 et les risques de longues négociations entre Israël et la société Total concernant les redevances que cette dernière doit verser à l’État hébreu en fonction des quantités de gaz et de pétrole qui seraient extraites de ce champ.
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