Recevant vendredi le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, l'ambassadeur Hossam Zaki, le chef des Forces libanaises a émis le souhait que « la Ligue arabe puisse faire usage de ses relations et contacts au Liban et dans la région, afin de permettre l’élection d’un président de la République dans les délais fixés par la Constitution ».
Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a réitéré vendredi le soutien de son parti à la candidature du député de Zghorta, Michel Mouawad à la présidentielle. Il a, dans ce sens, mis la lumière sur « les efforts continus entrepris avec les forces de l'opposition afin de procéder à l’élection d’un président avant la date limite constitutionnelle prévue à cet effet ».
Dans le cadre de sa rencontre avec le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, Hossam Zaki, M. Geagea a expliqué que « le tandem chiite ainsi que le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, font obstruction à l'arrivée d'un nouveau président à Baabda », ne s'étant pas encore entendus sur un candidat officiel issu de leurs rangs. Le refus de la candidature du député Moawad, dont les « positions sont souveraines, libres et indépendantes » est la preuve que le Hezbollah et ses alliés « sont à la recherche d’un candidat capable de satisfaire leurs exigences politiques », a déclaré le chef des FL. Il a fait valoir « que la force militaire du Hezbollah ne signifie en aucun cas qu'il puisse jouir d’un pouvoir politique au Liban ». M. Geagea a, dans ce contexte, émis le souhait que « la Ligue arabe puisse faire usage de ses relations et contacts au Liban et dans la région, afin de permettre l’élection d’un président dans les délais fixés par la Constitution ».
« Si les forces de l’opposition parvenaient à s’unir et s’engager pour un changement radical au niveau national, principe sur la base duquel elles ont été élues, elles pourraient sans aucun doute proposer un candidat qui reflète leur projet », a ajouté le leader chrétien. « Nous ne voulons pas d'un président qui gère la crise, mais d’un dirigeant muni d’un plan de sauvetage pour des solutions efficaces, un réformiste, capable de mettre fin à la contrebande et au clientélisme pour restaurer la confiance de la communauté arabe et internationale en l'Etat libanais », a-t-il insisté. Et de conclure : « si la partie adverse reste réfractaire candidat des forces de l'opposition, nous nous obstinerons à ne vouloir à la tête du pays qu'un président sérieux et efficace pour le Liban. Nous continuerons à accroitre les pressions jusqu'à ce que l'objectif d’élire un président-sauveur soit atteint ».
Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a réitéré vendredi le soutien de son parti à la candidature du député de Zghorta, Michel Mouawad à la présidentielle. Il a, dans ce sens, mis la lumière sur « les efforts continus entrepris avec les forces de l'opposition afin de procéder à l’élection d’un président avant la date limite constitutionnelle prévue à cet effet ».
Dans le cadre de sa rencontre avec le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, Hossam Zaki, M. Geagea a expliqué que « le tandem chiite ainsi que le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, font obstruction à l'arrivée d'un nouveau président à Baabda », ne s'étant pas encore entendus sur un candidat officiel issu de leurs rangs. Le refus de la candidature du député Moawad, dont les « positions sont souveraines, libres et indépendantes » est la preuve que le Hezbollah et ses alliés « sont à la recherche d’un candidat capable de satisfaire leurs exigences politiques », a déclaré le chef des FL. Il a fait valoir « que la force militaire du Hezbollah ne signifie en aucun cas qu'il puisse jouir d’un pouvoir politique au Liban ». M. Geagea a, dans ce contexte, émis le souhait que « la Ligue arabe puisse faire usage de ses relations et contacts au Liban et dans la région, afin de permettre l’élection d’un président dans les délais fixés par la Constitution ».
« Si les forces de l’opposition parvenaient à s’unir et s’engager pour un changement radical au niveau national, principe sur la base duquel elles ont été élues, elles pourraient sans aucun doute proposer un candidat qui reflète leur projet », a ajouté le leader chrétien. « Nous ne voulons pas d'un président qui gère la crise, mais d’un dirigeant muni d’un plan de sauvetage pour des solutions efficaces, un réformiste, capable de mettre fin à la contrebande et au clientélisme pour restaurer la confiance de la communauté arabe et internationale en l'Etat libanais », a-t-il insisté. Et de conclure : « si la partie adverse reste réfractaire candidat des forces de l'opposition, nous nous obstinerons à ne vouloir à la tête du pays qu'un président sérieux et efficace pour le Liban. Nous continuerons à accroitre les pressions jusqu'à ce que l'objectif d’élire un président-sauveur soit atteint ».
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