Pétillante et pleine d’énergie, Coco Makmak souhaite décomplexer les Libanaises vis-à-vis de leur éducation grâce à ses sketches.
Clouée devant son écran, ennuyée par le confinement, Coco Makmak procure à ses followers une bouffée d’oxygène grâce à ses sketchs qui rendent plus clémentes ces deux années de crises sans précédent. Puisées dans le quotidien libanais, les quatre personnages féminins de l’humoriste ont vu le jour: Coco, Franco-Libanaise à l’aise dans sa vie; Raya, femme sexy et très ouverte en quête de beaux hommes pleins aux as; Dominique, typique Française pieuse et ouverte d’esprit; Mona, tantine croyante, réservée et pudique; et, cerise sur le gâteau, la mère Makmak, mère libanaise qui couve (un peu trop) ses enfants... La comédienne, biberonnée au houmous sous la tour Eiffel depuis ses trois ans, a pu mettre à nu les travers des deux sociétés que l’on croit quasi «parfaites». S'inspirant de la vie quotidienne et des plaies des Libanais, l’humoriste concocte ses sketchs au fil de ses rencontres et de ses observations. «La meilleure façon de faire rire, c’est de parler des blessures et des défauts», affirme-t-elle. Riche de ses deux mondes et ses deux cultures, la comédienne met son talent au service de ses followers auxquels elle présente une aventure à la Coco Makmak saupoudrée d’humour et de petits plaisirs. Elle s’attaque aux tabous des sociétés et aux différences culturelles entre le Liban et la France. À travers les cinq caractères tout feu tout flamme interprétées par l’humoriste elle-même, Coco défend la liberté des personnes, qu’elles soient homosexuelles ou hétérosexuelles, mariées ou célibataires: «Ce qui se passe dans leur culotte reste dans leur culotte», comme le dit si bien Mme Dominique. Elle va à l’encontre du cliché Disney version libanaise et dit haut et fort: «Ils ne se marièrent jamais et n’eurent aucun enfant» ou, comme le dit Raya, «On n’est pas forcément né avec un programme couches-culottes». Elle met l’accent sur le libre choix des femmes à convoler, à travailler et à avoir des enfants. Vivre heureux étant pour elle vivre librement loin de tous les stéréotypes.
https://youtu.be/cheBhU9-t7c
«Mes personnages font partie intégrante de ma personnalité: il y a un peu de Raya, de Mona, même de Mme Dominique et surtout de la mère Makmak qui m’accompagne au quotidien!» confie Coco. L’humoriste explique que ses personnages représentent les cinq personnalités typiques que l’on retrouve dans chaque famille et que ces personnalités sont complémentaires. «Chaque mère Makmak a une Mona avec qui elle est intimement liée, de même que chaque Raya est amie avec une Coco; elles sont complémentaires!» poursuit-elle.
Après deux ans de succès sur les réseaux sociaux, Coco Makmak range soigneusement dans sa valise ses personnages et atterrit au théâtre Monnot. L’humoriste franco-libanaise tient à partager avec son public les bons moments auxquels il s’était habitué en temps de confinement. Le one-woman show de Coco Makmak, produit par Nibal Arakji, ouvre ses portes au public du 5 au 23 octobre pour rire aux larmes. C’est ainsi que la Parisienne invente en «franbanais» remanié à la Coco: «dehkonométrie», «bzézologue», «makboutin»… pour faire rire son audience. Le spectacle soutient également plusieurs causes comme celle du cancer des enfants ou même des droits des animaux; le profit des représentations dédiées à ces causes ira à des ong dans le besoin.
Message de la part des Followers
Pour la majorité des abonnés à sa page, Coco Makmak a réussi le pari d’atténuer les frustrations engendrées par le quotidien au Liban. La société libanaise, décrite comme exempte de défauts, ne manque pas de problèmes liés à la crise économique et aux tabous de la société. «Coco a réussi à réaliser un concentré parfait des deux cultures. Ses sketchs sont pour nous autres une échappatoire après le stress de la journée.» confie Donna, une abonnée depuis les débuts de Coco Makmak. Au-delà de la dimension comique de la page, ceux qui apprennent le français doivent à Coco de grands éclats de rire en explorant la langue de Molière. Selon Jawad, «les sketchs de Coco représentent une partie de notre identité libanaise transmise en langue française. Ils nous donnent un nouvel élan pour apprendre et rire à la fois.»
Sûre d’elle-même, motivée et pétillante, Coco Makmak vous promet un spectacle tordant. Rejoignez la mère Makmak, Mona, Raya et Coco pour une séance de dehkonométrie sans précédent!
https://youtu.be/TC7XKcHH5dc
Clouée devant son écran, ennuyée par le confinement, Coco Makmak procure à ses followers une bouffée d’oxygène grâce à ses sketchs qui rendent plus clémentes ces deux années de crises sans précédent. Puisées dans le quotidien libanais, les quatre personnages féminins de l’humoriste ont vu le jour: Coco, Franco-Libanaise à l’aise dans sa vie; Raya, femme sexy et très ouverte en quête de beaux hommes pleins aux as; Dominique, typique Française pieuse et ouverte d’esprit; Mona, tantine croyante, réservée et pudique; et, cerise sur le gâteau, la mère Makmak, mère libanaise qui couve (un peu trop) ses enfants... La comédienne, biberonnée au houmous sous la tour Eiffel depuis ses trois ans, a pu mettre à nu les travers des deux sociétés que l’on croit quasi «parfaites». S'inspirant de la vie quotidienne et des plaies des Libanais, l’humoriste concocte ses sketchs au fil de ses rencontres et de ses observations. «La meilleure façon de faire rire, c’est de parler des blessures et des défauts», affirme-t-elle. Riche de ses deux mondes et ses deux cultures, la comédienne met son talent au service de ses followers auxquels elle présente une aventure à la Coco Makmak saupoudrée d’humour et de petits plaisirs. Elle s’attaque aux tabous des sociétés et aux différences culturelles entre le Liban et la France. À travers les cinq caractères tout feu tout flamme interprétées par l’humoriste elle-même, Coco défend la liberté des personnes, qu’elles soient homosexuelles ou hétérosexuelles, mariées ou célibataires: «Ce qui se passe dans leur culotte reste dans leur culotte», comme le dit si bien Mme Dominique. Elle va à l’encontre du cliché Disney version libanaise et dit haut et fort: «Ils ne se marièrent jamais et n’eurent aucun enfant» ou, comme le dit Raya, «On n’est pas forcément né avec un programme couches-culottes». Elle met l’accent sur le libre choix des femmes à convoler, à travailler et à avoir des enfants. Vivre heureux étant pour elle vivre librement loin de tous les stéréotypes.
https://youtu.be/cheBhU9-t7c
«Mes personnages font partie intégrante de ma personnalité: il y a un peu de Raya, de Mona, même de Mme Dominique et surtout de la mère Makmak qui m’accompagne au quotidien!» confie Coco. L’humoriste explique que ses personnages représentent les cinq personnalités typiques que l’on retrouve dans chaque famille et que ces personnalités sont complémentaires. «Chaque mère Makmak a une Mona avec qui elle est intimement liée, de même que chaque Raya est amie avec une Coco; elles sont complémentaires!» poursuit-elle.
Après deux ans de succès sur les réseaux sociaux, Coco Makmak range soigneusement dans sa valise ses personnages et atterrit au théâtre Monnot. L’humoriste franco-libanaise tient à partager avec son public les bons moments auxquels il s’était habitué en temps de confinement. Le one-woman show de Coco Makmak, produit par Nibal Arakji, ouvre ses portes au public du 5 au 23 octobre pour rire aux larmes. C’est ainsi que la Parisienne invente en «franbanais» remanié à la Coco: «dehkonométrie», «bzézologue», «makboutin»… pour faire rire son audience. Le spectacle soutient également plusieurs causes comme celle du cancer des enfants ou même des droits des animaux; le profit des représentations dédiées à ces causes ira à des ong dans le besoin.
Message de la part des Followers
Pour la majorité des abonnés à sa page, Coco Makmak a réussi le pari d’atténuer les frustrations engendrées par le quotidien au Liban. La société libanaise, décrite comme exempte de défauts, ne manque pas de problèmes liés à la crise économique et aux tabous de la société. «Coco a réussi à réaliser un concentré parfait des deux cultures. Ses sketchs sont pour nous autres une échappatoire après le stress de la journée.» confie Donna, une abonnée depuis les débuts de Coco Makmak. Au-delà de la dimension comique de la page, ceux qui apprennent le français doivent à Coco de grands éclats de rire en explorant la langue de Molière. Selon Jawad, «les sketchs de Coco représentent une partie de notre identité libanaise transmise en langue française. Ils nous donnent un nouvel élan pour apprendre et rire à la fois.»
Sûre d’elle-même, motivée et pétillante, Coco Makmak vous promet un spectacle tordant. Rejoignez la mère Makmak, Mona, Raya et Coco pour une séance de dehkonométrie sans précédent!
https://youtu.be/TC7XKcHH5dc
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