Le Premier ministre israélien Yaïr Lapid a déclaré mercredi que "l’accord sur la délimitation de la frontière maritime avec le Liban préservera la sécurité d’Israël et affaiblira le Hezbollah", lors d’une conférence de presse.
"Cet accord rapportera des milliards pour le Trésor israélien, qui recevra 17% des bénéfices générés par les réserves de gaz libanais", a-t-il indiqué.
M. Lapid a par ailleurs mis en garde "contre toute attaque ciblant le champ gazier de Karish, car elle sera considérée comme étant une attaque directe contre Israël", précisant à cet effet que "l’accord éloignera la possibilité d’une confrontation avec le Hezbollah".
De son côté, le chef du Mossad israélien, David Barnea, a assuré que "celui qui prétend que l'accord sur la délimitation de la frontière maritime est une victoire revendiquée par le Hezbollah, n’a vraiment rien compris à la situation libanaise", soulignant que ledit accord ne sert pas les intérêts du parti chiite, puisqu’il "constitue un acte de reconnaissance de l’État hébreu". Et d’ajouter : "Le Hezbollah s’est impliqué dans les négociations, une fois qu’il a réalisé que l’opinion publique libanaise soutenait cet accord".
"Cet accord rapportera des milliards pour le Trésor israélien, qui recevra 17% des bénéfices générés par les réserves de gaz libanais", a-t-il indiqué.
M. Lapid a par ailleurs mis en garde "contre toute attaque ciblant le champ gazier de Karish, car elle sera considérée comme étant une attaque directe contre Israël", précisant à cet effet que "l’accord éloignera la possibilité d’une confrontation avec le Hezbollah".
De son côté, le chef du Mossad israélien, David Barnea, a assuré que "celui qui prétend que l'accord sur la délimitation de la frontière maritime est une victoire revendiquée par le Hezbollah, n’a vraiment rien compris à la situation libanaise", soulignant que ledit accord ne sert pas les intérêts du parti chiite, puisqu’il "constitue un acte de reconnaissance de l’État hébreu". Et d’ajouter : "Le Hezbollah s’est impliqué dans les négociations, une fois qu’il a réalisé que l’opinion publique libanaise soutenait cet accord".
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