Le ministre sortant de la Santé Firas Abiad a annoncé lundi la mise en place d’une plateforme unifiée qui sera adopté à l’échelle nationale par les différents centres de soins de santé primaires, les ONG et les agences onusiennes qui œuvrent pour lutter contre le choléra, et ce en coordination avec l’unité de gestion des catastrophes au Grand Sérail et la Croix-Rouge libanaise.
Pour ce faire, chaque centre de soins de santé primaires est appelé à désigner un délégué auprès du ministère de la Santé, «pour éviter une duplication des efforts menés pour lutter contre le choléra».
Au cours d’une rencontre élargie au ministère de la Santé, le Dr Abiad a en outre souligné la nécessité de tirer la sonnette d’alarme. À juste titre puisque lors des visites qu’il a effectuées au cours des derniers jours dans les régions où des cas de choléra ont été signalés, il a constaté que l’état vétuste des réseaux hydrauliques et des réseaux d’égouts «constituent le principal obstacle pour contenir la maladie». «De plus, le froid semble être un facteur supplémentaire qui contribue à la propagation de l'affection», a ajouté le ministre.
«La prochaine étape nécessite une coordination des efforts», a-t-il encore insisté, mettant l’accent sur l’importance d’une «transmission exacte et rapide des informations pour une meilleure réponse à la maladie».
Sur la plateforme seront publiées une mise à jour de la propagation du choléra au Liban selon les chiffres du ministère de la Santé, accompagnée d’une carte sur la répartition des cas selon les régions, ainsi que des informations sur les efforts menés par le ministère pour lutter contre la maladie et prendre en charge les patients.
Pour ce faire, chaque centre de soins de santé primaires est appelé à désigner un délégué auprès du ministère de la Santé, «pour éviter une duplication des efforts menés pour lutter contre le choléra».
Au cours d’une rencontre élargie au ministère de la Santé, le Dr Abiad a en outre souligné la nécessité de tirer la sonnette d’alarme. À juste titre puisque lors des visites qu’il a effectuées au cours des derniers jours dans les régions où des cas de choléra ont été signalés, il a constaté que l’état vétuste des réseaux hydrauliques et des réseaux d’égouts «constituent le principal obstacle pour contenir la maladie». «De plus, le froid semble être un facteur supplémentaire qui contribue à la propagation de l'affection», a ajouté le ministre.
«La prochaine étape nécessite une coordination des efforts», a-t-il encore insisté, mettant l’accent sur l’importance d’une «transmission exacte et rapide des informations pour une meilleure réponse à la maladie».
Sur la plateforme seront publiées une mise à jour de la propagation du choléra au Liban selon les chiffres du ministère de la Santé, accompagnée d’une carte sur la répartition des cas selon les régions, ainsi que des informations sur les efforts menés par le ministère pour lutter contre la maladie et prendre en charge les patients.
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