Le député du bloc parlementaire berryste, Anouar el-Khalil, s’est fortement indigné samedi de la position de refus qu’aurait prise le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, concernant l’initiative conjointe lancée par le président de la Chambre, Nabih Berry, le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, et le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï. Celle-ci consisterait à exposer la vérité concernant l’explosion du port de Beyrouth survenu le 4 août 2020, conformément aux procédures juridiques et constitutionnelles.
Cette initiative, avortée par M. Bassil, empêcherait, selon le communiqué de M. Khalil, le gouvernement de se réunir et de traiter les problèmes imminents auxquels fait face le pays.
Le député a aussi déploré le fait que “le régime du président Michel Aoun refuse d’accepter que le pays se trouve dans une situation de crise”. “Il est en déni total des circonstances que traverse le Liban”, ajoute-t-il. “La seule préoccupation du mandat, poursuit M. Khalil, est de sécuriser le pouvoir ou d'assurer l'héritage.”
M. Khalil a également dénoncé la position négative du chef du CPL à l’encontre de toutes les initiatives - notamment celles de Berry et du patriarche Raï - concernant les investigations dans l'affaire de l’explosion au port. Il a souligné qu’il était du “droit des Libanais de connaître la vérité, par le biais de procédés légaux et juridiques”.
Cette initiative, avortée par M. Bassil, empêcherait, selon le communiqué de M. Khalil, le gouvernement de se réunir et de traiter les problèmes imminents auxquels fait face le pays.
Le député a aussi déploré le fait que “le régime du président Michel Aoun refuse d’accepter que le pays se trouve dans une situation de crise”. “Il est en déni total des circonstances que traverse le Liban”, ajoute-t-il. “La seule préoccupation du mandat, poursuit M. Khalil, est de sécuriser le pouvoir ou d'assurer l'héritage.”
M. Khalil a également dénoncé la position négative du chef du CPL à l’encontre de toutes les initiatives - notamment celles de Berry et du patriarche Raï - concernant les investigations dans l'affaire de l’explosion au port. Il a souligné qu’il était du “droit des Libanais de connaître la vérité, par le biais de procédés légaux et juridiques”.
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