Trois membres du Hamas ont été tués dimanche par des tirs lors des funérailles de Hamza Chahine, un membre du mouvement islamiste dans le camp palestinien de Borj el-Chemali, à l'est de Tyr (Liban-Sud).
https://youtu.be/YpwDvJYyxeE
Raafat al-Murra a accusé « des militants du Fateh d’avoir tiré en direction du convoi funèbre » d’un Palestinien qui avait été tué dans une explosion vendredi d'un dépôt d'armes et de munitions appartenant au Hamas dans ce même camp de Borj el-Chemali.
Il a précisé que six personnes ont été blessées.
Un des habitants du camp de réfugiés palestinien a indiqué à l’AFP qu’un accrochage armé avait eu lieu dimanche après les tirs, alors que des éléments armés du Fateh et de Hamas étaient déjà déployés dans le secteur avant les coups de feu.
Une autre version avancée cependant par le chef de la « Force de sécurité nationale » palestinienne (Fateh) au sein du camp, le général Talal Abdel Kassem, prétend que le tireur n’appartenait à aucune des deux formations et soutient qu'il s'agit d'un incident, l’une des armes automatiques utilisée par des jeunes qui tiraient à l’occasion du passage du cortège funéraire ayant échappé au contrôle de son propriétaire, faisant plusieurs victimes, qui ont été transportées dans les hôpitaux de la région.
Le Fateh a remis le tireur, Mohammad Mahmoud Dahwiche, alias "Abou A'cha", aux services de renseignements de l'armée libanaise, dimanche soir, dans le camp palestinien de Buss à Tyr.
Le député de la circonscription de Tyr-Zahrani, Hassan Ezzeddine (Hezbollah), qui se trouvait sur les lieux, aurait échappé aux tirs.
Le Liban accueille plus de 192.000 réfugiés palestiniens, pour la plupart dans les 12 camps du pays, selon des chiffres officiels datant de 2020.
En vertu d’un accord de longue date, l’armée libanaise ne pénètre pas dans ces camps, où la sécurité est assurée par des factions palestiniennes.
Des armes légères sont aux mains des factions palestiniennes dans ces camps qui ont connu ces dernières décennies des attaques, des assassinats et des accrochages entre groupes armés rivaux.
Une forte explosion s’est produite vendredi dans le camp de Borj al-Chemali, faisant un mort. Le Hamas avait évoqué « un court-circuit dans un dépôt contenant des bonbonnes de gaz et des bouteilles d’oxygène destinées aux patients atteints du coronavirus », tandis qu’une source militaire libanaise a indiqué que l’explosion a eu lieu dans un dépôt d’armes et de munitions.
https://youtu.be/6qGA0mnZmww
https://youtu.be/YpwDvJYyxeE
Raafat al-Murra a accusé « des militants du Fateh d’avoir tiré en direction du convoi funèbre » d’un Palestinien qui avait été tué dans une explosion vendredi d'un dépôt d'armes et de munitions appartenant au Hamas dans ce même camp de Borj el-Chemali.
Il a précisé que six personnes ont été blessées.
Un des habitants du camp de réfugiés palestinien a indiqué à l’AFP qu’un accrochage armé avait eu lieu dimanche après les tirs, alors que des éléments armés du Fateh et de Hamas étaient déjà déployés dans le secteur avant les coups de feu.
Une autre version avancée cependant par le chef de la « Force de sécurité nationale » palestinienne (Fateh) au sein du camp, le général Talal Abdel Kassem, prétend que le tireur n’appartenait à aucune des deux formations et soutient qu'il s'agit d'un incident, l’une des armes automatiques utilisée par des jeunes qui tiraient à l’occasion du passage du cortège funéraire ayant échappé au contrôle de son propriétaire, faisant plusieurs victimes, qui ont été transportées dans les hôpitaux de la région.
Le Fateh a remis le tireur, Mohammad Mahmoud Dahwiche, alias "Abou A'cha", aux services de renseignements de l'armée libanaise, dimanche soir, dans le camp palestinien de Buss à Tyr.
Le député de la circonscription de Tyr-Zahrani, Hassan Ezzeddine (Hezbollah), qui se trouvait sur les lieux, aurait échappé aux tirs.
Le Liban accueille plus de 192.000 réfugiés palestiniens, pour la plupart dans les 12 camps du pays, selon des chiffres officiels datant de 2020.
En vertu d’un accord de longue date, l’armée libanaise ne pénètre pas dans ces camps, où la sécurité est assurée par des factions palestiniennes.
Des armes légères sont aux mains des factions palestiniennes dans ces camps qui ont connu ces dernières décennies des attaques, des assassinats et des accrochages entre groupes armés rivaux.
Une forte explosion s’est produite vendredi dans le camp de Borj al-Chemali, faisant un mort. Le Hamas avait évoqué « un court-circuit dans un dépôt contenant des bonbonnes de gaz et des bouteilles d’oxygène destinées aux patients atteints du coronavirus », tandis qu’une source militaire libanaise a indiqué que l’explosion a eu lieu dans un dépôt d’armes et de munitions.
https://youtu.be/6qGA0mnZmww
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