Lors d’une réunion entre le Premier ministre Najib Mikati, le ministre sortant de l'Energie Walid Fayad, le directeur général d'Electricité du Liban Kamal Hayek et la directrice générale du pétrole Aurore Feghali, il a été question d’achat de carburant afin d'augmenter les heures d'alimentation. L’objectif est de pouvoir fournir 8 à 10 heures d'électricité à la moitié du prix des groupes électrogènes privés, selon le plan d'urgence que le ministère a élaboré.
À l’issue de la réunion, le ministre Fayad a déclaré que “nous avons discuté d'un appel d'offres public lancé par la Direction du pétrole afin d’assurer le carburant pour les six prochains mois". Néanmoins, il faut que la possibilité de financement soit discutée avec les autorités compétentes, telles que la Banque du Liban. L’idée est de payer le carburant 5 ou 6 mois plus tard afin de permetre à EDL de collecter les factures en livres libanaises et de les convertir en dollars via la plateforme d'échange Sayrafa.
Il a expliqué que le montant de l’appel d’offres varie, selon le prix du carburant, entre 100 et 150 millions de dollars par mois, pour garantir entre 8 et 10 heures d'alimentation.
Concernant le refus de certaines parties (le Hezbollah) d'augmenter la tarification de l'électricité, M. Fayad a souligné qu'il œuvre à surmonter tous les obstacles. Et d’affirmer que la hausse du tarif prendra effet parallèlement à l'augmentation de l'alimentation.
Faut-il espérer encore du gaz et de l'électricité d'Égypte et de Jordanie? “Nous n'avons pas perdu espoir sur cette question car elle est stratégique pour le Liban. De plus, le gaz coûte moins cher que le carburant conventionnel”, a relevé le ministre de l'Energie.
Concernant, d'autre part, l'apparition de cas de choléra, notons qu'une réunion s’est tenue lundi après-midi pour discuter de la nécessité de traiter d'urgence ce dossier en assurant tous les moyens possibles pour la fourniture de l’électricité aux stations de pompage ou pour le traitement de l'eau afin d'empêcher la propagation de l'épidémie.
À l’issue de la réunion, le ministre Fayad a déclaré que “nous avons discuté d'un appel d'offres public lancé par la Direction du pétrole afin d’assurer le carburant pour les six prochains mois". Néanmoins, il faut que la possibilité de financement soit discutée avec les autorités compétentes, telles que la Banque du Liban. L’idée est de payer le carburant 5 ou 6 mois plus tard afin de permetre à EDL de collecter les factures en livres libanaises et de les convertir en dollars via la plateforme d'échange Sayrafa.
Il a expliqué que le montant de l’appel d’offres varie, selon le prix du carburant, entre 100 et 150 millions de dollars par mois, pour garantir entre 8 et 10 heures d'alimentation.
Concernant le refus de certaines parties (le Hezbollah) d'augmenter la tarification de l'électricité, M. Fayad a souligné qu'il œuvre à surmonter tous les obstacles. Et d’affirmer que la hausse du tarif prendra effet parallèlement à l'augmentation de l'alimentation.
Faut-il espérer encore du gaz et de l'électricité d'Égypte et de Jordanie? “Nous n'avons pas perdu espoir sur cette question car elle est stratégique pour le Liban. De plus, le gaz coûte moins cher que le carburant conventionnel”, a relevé le ministre de l'Energie.
Concernant, d'autre part, l'apparition de cas de choléra, notons qu'une réunion s’est tenue lundi après-midi pour discuter de la nécessité de traiter d'urgence ce dossier en assurant tous les moyens possibles pour la fourniture de l’électricité aux stations de pompage ou pour le traitement de l'eau afin d'empêcher la propagation de l'épidémie.
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