L’ancien ministre Achraf Rifi, un farouche opposant du Hezbollah, s’est déchaîné hier avec une violence particulière contre cette formation, au lendemain notamment d’un discours virulent du numéro 2 du Hezbollah, cheikh Naïm Qassem, contre les détracteurs de son parti.
« Personne ne pourra altérer l’identité de notre pays dont nous sommes, chrétiens et musulmans, des composantes fondamentales. Nous demander de partir si nous n’acceptons pas votre projet qui a plongé le Liban dans le terrorisme, la criminalité et le trafic de poison est le summum de l’effronterie », a écrit le général Rifi sur son compte Twitter.
Il réagissait ainsi à des propos de cheikh Qassem qui vantait « les victoires » de son parti ainsi que « son militantisme pour la souveraineté et l’indépendance » du Liban, avant d’appeler « ses opposants à trouver d’autres solutions » au cas où le projet du Hezbollah ne leur conviendrait pas. Cette dernière phrase a été interprétée par le camp souverainiste comme un appel à partir du Liban.
Estimant que la formation chiite « va plonger le pays encore plus dans l’effondrement », le général Rifi a souligné que « le Liban est aujourd’hui hypothéqué et otage d’un blocage » dont il a attribué la responsabilité au Hezbollah ». Ce parti « veut le pays à l’image du projet iranien criminel et raté », a-t-il encore écrit, avant de s’élever « contre l’arrogance qu’un groupe armé, agent et criminel qui prend en otage le Liban pour le conduire en enfer ».
« Personne ne pourra altérer l’identité de notre pays dont nous sommes, chrétiens et musulmans, des composantes fondamentales. Nous demander de partir si nous n’acceptons pas votre projet qui a plongé le Liban dans le terrorisme, la criminalité et le trafic de poison est le summum de l’effronterie », a écrit le général Rifi sur son compte Twitter.
Il réagissait ainsi à des propos de cheikh Qassem qui vantait « les victoires » de son parti ainsi que « son militantisme pour la souveraineté et l’indépendance » du Liban, avant d’appeler « ses opposants à trouver d’autres solutions » au cas où le projet du Hezbollah ne leur conviendrait pas. Cette dernière phrase a été interprétée par le camp souverainiste comme un appel à partir du Liban.
Estimant que la formation chiite « va plonger le pays encore plus dans l’effondrement », le général Rifi a souligné que « le Liban est aujourd’hui hypothéqué et otage d’un blocage » dont il a attribué la responsabilité au Hezbollah ». Ce parti « veut le pays à l’image du projet iranien criminel et raté », a-t-il encore écrit, avant de s’élever « contre l’arrogance qu’un groupe armé, agent et criminel qui prend en otage le Liban pour le conduire en enfer ».
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