Dans un Liban en pleine tourmente persistent encore des ilots de lumière qui contrastent avec l’atmosphère ambiante. Il suffit d’emprunter de petites ruelles pour s’immerger dans la beauté et l’esthétisme à l’état pur. La Galerie XXe siècle fait partie de ces enchantements que l’on voudrait éternels.
La renommée internationale de cette galerie fondée dans les années 2000 par Souheil et Hala Hanna a déjà (presque) fait le tour du monde, à bon escient. Souheil Hanna a été précurseur et a eu le flair (d’une sensibilité rare) d’acheter dès les années 2000, lors de son installation au Liban, des meubles et autres arts décoratifs pour lesquels il destinait un meilleur avenir, ayant perçu et compris que ses achats allaient devenir le nec plus ultra de la déco. Il a été par exemple le premier à acquérir des meubles Royere, alors que le monde des architectes d’intérieur avait les yeux fixés ailleurs. Beyrouth et le Liban regorgeaient de ces merveilles qui ne trouvaient pas grâce aux yeux des décorateurs.
Avec sa sœur Hala, il s’est lancé à la chasse (de ces meubles et objets dont personne ne voulait) et a écumé la ville, voire le pays. Ces meubles-là, il les a retapés pour les mettre en vente et le vent a alors tourné pour eux deux, à telle enseigne que la Galerie XXe siècle est devenue un lieu incontournable, spécialisé dans ce qui a fait la beauté et la marque déposée du XXe siècle. L’idée de rester dans ce siècle-là n’est pas statique. Les meubles acquis puis revendus ont toujours une signature, propre au tandem, qui les distingue des autres.
Dès que l'on pénètre dans cet antre de beauté, on est happé par l’harmonie et la beauté qui se dégagent de chaque meuble au point de ne plus avoir envie de quitter les lieux.
Souheil et Hala préparent une exposition de masques cousus par des femmes chamanes, qui sera lancée demain. « Derrière chacun d’eux, il y a une prière », affirme Souheil. Il n’a pas tort, le monde invisible duquel nous attendons tous une issue salvatrice finira par écouter les suppliques des Libanais et faire en sorte qu’une galerie comme celle-ci puisse toujours accueillir le beau et ressourcer les esprits chagrins…
La renommée internationale de cette galerie fondée dans les années 2000 par Souheil et Hala Hanna a déjà (presque) fait le tour du monde, à bon escient. Souheil Hanna a été précurseur et a eu le flair (d’une sensibilité rare) d’acheter dès les années 2000, lors de son installation au Liban, des meubles et autres arts décoratifs pour lesquels il destinait un meilleur avenir, ayant perçu et compris que ses achats allaient devenir le nec plus ultra de la déco. Il a été par exemple le premier à acquérir des meubles Royere, alors que le monde des architectes d’intérieur avait les yeux fixés ailleurs. Beyrouth et le Liban regorgeaient de ces merveilles qui ne trouvaient pas grâce aux yeux des décorateurs.
Avec sa sœur Hala, il s’est lancé à la chasse (de ces meubles et objets dont personne ne voulait) et a écumé la ville, voire le pays. Ces meubles-là, il les a retapés pour les mettre en vente et le vent a alors tourné pour eux deux, à telle enseigne que la Galerie XXe siècle est devenue un lieu incontournable, spécialisé dans ce qui a fait la beauté et la marque déposée du XXe siècle. L’idée de rester dans ce siècle-là n’est pas statique. Les meubles acquis puis revendus ont toujours une signature, propre au tandem, qui les distingue des autres.
Dès que l'on pénètre dans cet antre de beauté, on est happé par l’harmonie et la beauté qui se dégagent de chaque meuble au point de ne plus avoir envie de quitter les lieux.
Souheil et Hala préparent une exposition de masques cousus par des femmes chamanes, qui sera lancée demain. « Derrière chacun d’eux, il y a une prière », affirme Souheil. Il n’a pas tort, le monde invisible duquel nous attendons tous une issue salvatrice finira par écouter les suppliques des Libanais et faire en sorte qu’une galerie comme celle-ci puisse toujours accueillir le beau et ressourcer les esprits chagrins…
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