Les évêques maronites ont estimé mercredi que « les contacts internationaux et arabes en cours permettent d’espérer l’élection d’un nouveau président de la République ». Ils ont dans ce sens lancé un appel « aux partis politiques et blocs parlementaires concernés à profiter de cette atmosphère positive pour honorer cette échéance et faciliter la sortie de crise du pays ».
Dans un communiqué publié à l’issue de leur réunion mensuelle à Bkerké, sous la présidence du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, les évêques maronites ont déploré la polémique ayant suivi la tenue du Conseil des ministres d’expédition des affaires courantes le 5 décembre, malgré le boycottage de la réunion par les ministres relevant du Courant patriotique libre. « Un tel débat aurait pu être évité si les responsables avaient traité la question dans le cadre d’un dialogue constructif, loin des tensions politiques et dans le respect la Constitution », ont-ils déclaré. Et de poursuivre : « Nous savons bien que les affaires citoyennes peuvent être traitées de diverses manières, conformément à la Constitution, sans qu’il n’y ait besoin de convoquer le gouvernement démissionnaire ». Ils ont insisté dans ce cadre sur le moyen de « sortir le Liban sorte de cette impasse politique et économique », et qui est d’« accélérer le processus d’élection d’un chef de l’Etat ».
Ils ont également condamné « le chaos sécuritaire itinérant » qui s’est manifesté récemment par des accrochages à la place Sassine, à Achrafieh. Ils ont ainsi sollicité les services de sécurité à veiller autant que possible à empêcher de tels affrontements, et à prendre des « mesures préventives ».
Ils ont préconisé enfin « une coopération entre les associations, fédérations municipales, municipalités, et services officiels compétents (…) pour répondre aux besoins des citoyens en termes de sécurité alimentaire et sociale ».
Dans un communiqué publié à l’issue de leur réunion mensuelle à Bkerké, sous la présidence du patriarche maronite, Mgr Béchara Raï, les évêques maronites ont déploré la polémique ayant suivi la tenue du Conseil des ministres d’expédition des affaires courantes le 5 décembre, malgré le boycottage de la réunion par les ministres relevant du Courant patriotique libre. « Un tel débat aurait pu être évité si les responsables avaient traité la question dans le cadre d’un dialogue constructif, loin des tensions politiques et dans le respect la Constitution », ont-ils déclaré. Et de poursuivre : « Nous savons bien que les affaires citoyennes peuvent être traitées de diverses manières, conformément à la Constitution, sans qu’il n’y ait besoin de convoquer le gouvernement démissionnaire ». Ils ont insisté dans ce cadre sur le moyen de « sortir le Liban sorte de cette impasse politique et économique », et qui est d’« accélérer le processus d’élection d’un chef de l’Etat ».
Ils ont également condamné « le chaos sécuritaire itinérant » qui s’est manifesté récemment par des accrochages à la place Sassine, à Achrafieh. Ils ont ainsi sollicité les services de sécurité à veiller autant que possible à empêcher de tels affrontements, et à prendre des « mesures préventives ».
Ils ont préconisé enfin « une coopération entre les associations, fédérations municipales, municipalités, et services officiels compétents (…) pour répondre aux besoins des citoyens en termes de sécurité alimentaire et sociale ».
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