L'équipe de France "est au-dessus de tout, je suis à son service", a déclaré samedi, à la veille de la finale du Mondial contre l'Argentine, le sélectionneur Didier Deschamps, se disant "heureux d'être dans cette fonction-là" sans penser à son avenir.
Le contrat du patron des Bleus, en place depuis 2012, arrive à échéance fin décembre. Le président de la Fédération française (FFF) Noël Le Graët a assuré que Deschamps aurait "la main" en cas de qualification dans le dernier carré de la Coupe du monde, ce qui est chose faite.
"L'équipe de France a toujours été la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie professionnelle, dans ma première vie de joueur puis comme sélectionneur. Maintenant ça fait 10 ans. C'est vraiment la passion, le très très haut niveau. Je suis très bien, très heureux d'être dans cette fonction-là", a d'abord répondu le sélectionneur de 54 ans en conférence de presse.
Mais il a tenu, comme souvent, à mettre de côté son cas personnel, de surcroît avant le match de dimanche (17h00) contre l'Argentine, sa deuxième finale mondiale comme sélectionneur après celle remportée en 2018 contre la Croatie.
"Le plus important ça n'a jamais été moi mais l'équipe de France. Elle est au-dessus de tout, je suis à son service, depuis dix ans et encore là pour le match qui nous attend demain. C'est gentil de penser à moi, mais ce n'est pas moi le plus important", a-t-il poursuivi.
Son avenir? "Je n'ai pas ça dans ma tête ni ce qui se passera après", a-t-il évacué, répétant vouloir concentrer toute son énergie sur le choc à venir face à Lionel Messi et ses partenaires.
Le contrat du patron des Bleus, en place depuis 2012, arrive à échéance fin décembre. Le président de la Fédération française (FFF) Noël Le Graët a assuré que Deschamps aurait "la main" en cas de qualification dans le dernier carré de la Coupe du monde, ce qui est chose faite.
"L'équipe de France a toujours été la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma vie professionnelle, dans ma première vie de joueur puis comme sélectionneur. Maintenant ça fait 10 ans. C'est vraiment la passion, le très très haut niveau. Je suis très bien, très heureux d'être dans cette fonction-là", a d'abord répondu le sélectionneur de 54 ans en conférence de presse.
Mais il a tenu, comme souvent, à mettre de côté son cas personnel, de surcroît avant le match de dimanche (17h00) contre l'Argentine, sa deuxième finale mondiale comme sélectionneur après celle remportée en 2018 contre la Croatie.
"Le plus important ça n'a jamais été moi mais l'équipe de France. Elle est au-dessus de tout, je suis à son service, depuis dix ans et encore là pour le match qui nous attend demain. C'est gentil de penser à moi, mais ce n'est pas moi le plus important", a-t-il poursuivi.
Son avenir? "Je n'ai pas ça dans ma tête ni ce qui se passera après", a-t-il évacué, répétant vouloir concentrer toute son énergie sur le choc à venir face à Lionel Messi et ses partenaires.
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