Un financement sous forme de prêt à EDL est en cours d’étude par le ministre sortant des Finances, Youssef el-Khalil, le gouverneur de la Banque du Liban (BDL), Riad Salamé et le gouvernement.
A ce propos, MM. Salamé et el-Khalil ont tenu vendredi une réunion au cours de laquelle le gouverneur de la BDL a contacté par téléphone le ministre sortant de l'Énergie, Walid Fayad, pour l’informer de son intention d'ouvrir une ligne de crédit de 62 millions de dollars au profit d'EDL mardi prochain, en attendant la fin des procédures légales et de la correspondance des études entre le ministère des Finances et la Banque centrale.
Interrogé par Ici Beyrouth, le ministre sortant des Finances explique qu’avec le gouverneur de la BDL les possibilités de financement d'EDL sous forme de prêt sont envisagées. Ce montant devrait permettre de pouvoir acheter du carburant pour faire fonctionner les centrales électriques du pays.
“Nous voulons donner cet argent, mais il faut que nous fassions quelques études. Nous avons déjà travaillé sur ce financement, mais nous n’avons pas encore terminé” les études requises, assure le ministre el-Khalil.
Interrogé sur le constat qu'EDL est un gouffre sans fond, M. El Khalil s’est abstenu de répondre.
“Rien ne dit que nous n’allons pas accorder un prêt à EDL, mais rien ne dit non plus que nous allons le faire”, conclut-il sur un ton énigmatique...
A ce propos, MM. Salamé et el-Khalil ont tenu vendredi une réunion au cours de laquelle le gouverneur de la BDL a contacté par téléphone le ministre sortant de l'Énergie, Walid Fayad, pour l’informer de son intention d'ouvrir une ligne de crédit de 62 millions de dollars au profit d'EDL mardi prochain, en attendant la fin des procédures légales et de la correspondance des études entre le ministère des Finances et la Banque centrale.
Interrogé par Ici Beyrouth, le ministre sortant des Finances explique qu’avec le gouverneur de la BDL les possibilités de financement d'EDL sous forme de prêt sont envisagées. Ce montant devrait permettre de pouvoir acheter du carburant pour faire fonctionner les centrales électriques du pays.
“Nous voulons donner cet argent, mais il faut que nous fassions quelques études. Nous avons déjà travaillé sur ce financement, mais nous n’avons pas encore terminé” les études requises, assure le ministre el-Khalil.
Interrogé sur le constat qu'EDL est un gouffre sans fond, M. El Khalil s’est abstenu de répondre.
“Rien ne dit que nous n’allons pas accorder un prêt à EDL, mais rien ne dit non plus que nous allons le faire”, conclut-il sur un ton énigmatique...
Lire aussi
Commentaires