Notamment connu pour son rôle dans la célèbre trilogie The Godfather, l’acteur, réalisateur et producteur Andy García faisait également partie du programme In Conversation au Red Sea Festival de Jeddah 2022. Il partage avec les assoiffés de cinéma réflexions et expériences personnelles.
Relatant ses début dans le domaine de l’actorat, Andy García dit: «Je suppose que jouer était en moi dès le début. J’ai longtemps nourri le rêve d’être acteur. J’ai continué d'en rêver tout au long de mon parcours. Avoir le désir d’accomplir une chose et puis réaliser son rêve est en quelque sorte une bénédiction. J’ai toujours été fan du cinéma. J'ai vu les films Marvel dans les années soixante. J’ai été inspiré par Sean Connery, Steve McQueen, James Bond…
En fait, tout a commencé quand j'avais 17 ans. C'était ma dernière année de lycée. Je m'étais inscrit à un cours de théâtre. Durant les représentations, j’appréciais l'énergie et le public. Jouer est un virus qui vous prend aux tripes. J'ai alors commencé mes études de théâtre et déménagé à Los Angeles. Mes parents m’ont encouragé dans ma décision. Mes deux filles aînées sont devenues également actrices par choix.»
Faisant allusion à la célèbre trilogie The Godfather, Andy García enchaîne: «Francis Ford Coppola m’a contacté pour me demander: «Que fais-tu en septembre?». Après avoir consulté mon calendrier, j'ai répondu que j'étais disponible et me suis retrouvé à répéter deux jours plus tard. J'étais le dernier acteur à rejoindre le cast. The Godfather représentait la trilogie de mes rêves. Qu'est-ce qui la rendait si unique? Marlon Brando et Francis Ford Coppola. The Godfather I était un film indépendant, surtout d'esprit. The Godfather II a été une énorme production.»
Andy García a occupé différents postes au cinéma. Il atteste: «J'ai enchaîné les rôles au cinéma, mais j'ai également eu d'autres casquettes. J’ai été le réalisateur et le producteur de Lost City, par exemple, tout en jouant dans le film. Je voulais vivre une expérience exhaustive.»
Il garde des souvenirs précieux de ses expériences partagées avec différentes stars. «J’ai partagé des moments inoubliables avec plusieurs stars. J'ai eu la chance de travailler avec Sean Connery, Diane Keaton… Pendant le tournage de Mamma Mia, je me souviens que j’avais des problèmes de dos. Je m’étais fait mal en jouant au golf. J'ai dû suivre une physiothérapie et me sentais incapable de jouer. C'est Meryl Streep qui m’a soutenu… Combien de personnes comme elle connaissez-vous?»
Andy García poursuit: «Après toutes ces années de travail, ce dont on se souvient en rentrant chez soi, c'est le processus de création, les personnes avec qui on a travaillé, les difficultés qu'on a surmontées. Je garde en moi 25 ans de moments difficiles, mais surtout beaucoup de joie.»
Et Andy Garcia de conclure: «Les films reflètent la diversité des cultures. Ils voyagent à travers le monde. J’ai pu rencontrer des acteurs très différents dans différentes parties du monde. J’ai beaucoup appris grâce au cinéma… Il a son propre langage.»
Marie-Christine Tayah
Instagram :
Relatant ses début dans le domaine de l’actorat, Andy García dit: «Je suppose que jouer était en moi dès le début. J’ai longtemps nourri le rêve d’être acteur. J’ai continué d'en rêver tout au long de mon parcours. Avoir le désir d’accomplir une chose et puis réaliser son rêve est en quelque sorte une bénédiction. J’ai toujours été fan du cinéma. J'ai vu les films Marvel dans les années soixante. J’ai été inspiré par Sean Connery, Steve McQueen, James Bond…
En fait, tout a commencé quand j'avais 17 ans. C'était ma dernière année de lycée. Je m'étais inscrit à un cours de théâtre. Durant les représentations, j’appréciais l'énergie et le public. Jouer est un virus qui vous prend aux tripes. J'ai alors commencé mes études de théâtre et déménagé à Los Angeles. Mes parents m’ont encouragé dans ma décision. Mes deux filles aînées sont devenues également actrices par choix.»
Faisant allusion à la célèbre trilogie The Godfather, Andy García enchaîne: «Francis Ford Coppola m’a contacté pour me demander: «Que fais-tu en septembre?». Après avoir consulté mon calendrier, j'ai répondu que j'étais disponible et me suis retrouvé à répéter deux jours plus tard. J'étais le dernier acteur à rejoindre le cast. The Godfather représentait la trilogie de mes rêves. Qu'est-ce qui la rendait si unique? Marlon Brando et Francis Ford Coppola. The Godfather I était un film indépendant, surtout d'esprit. The Godfather II a été une énorme production.»
Andy García a occupé différents postes au cinéma. Il atteste: «J'ai enchaîné les rôles au cinéma, mais j'ai également eu d'autres casquettes. J’ai été le réalisateur et le producteur de Lost City, par exemple, tout en jouant dans le film. Je voulais vivre une expérience exhaustive.»
Il garde des souvenirs précieux de ses expériences partagées avec différentes stars. «J’ai partagé des moments inoubliables avec plusieurs stars. J'ai eu la chance de travailler avec Sean Connery, Diane Keaton… Pendant le tournage de Mamma Mia, je me souviens que j’avais des problèmes de dos. Je m’étais fait mal en jouant au golf. J'ai dû suivre une physiothérapie et me sentais incapable de jouer. C'est Meryl Streep qui m’a soutenu… Combien de personnes comme elle connaissez-vous?»
Andy García poursuit: «Après toutes ces années de travail, ce dont on se souvient en rentrant chez soi, c'est le processus de création, les personnes avec qui on a travaillé, les difficultés qu'on a surmontées. Je garde en moi 25 ans de moments difficiles, mais surtout beaucoup de joie.»
Et Andy Garcia de conclure: «Les films reflètent la diversité des cultures. Ils voyagent à travers le monde. J’ai pu rencontrer des acteurs très différents dans différentes parties du monde. J’ai beaucoup appris grâce au cinéma… Il a son propre langage.»
Marie-Christine Tayah
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