Il est des hommages qui éternisent les êtres. Tel est le cas de la rue 56 d’Achrafieh – secteur Huvelin – qui porte désormais le nom du Professeur Roy Nasnas, emporté trop tôt par la maladie. Cette ruelle, coïncidence ou destin, est celle où il est né et là où il a passé sa plus tendre enfance. Son épouse, Graziella Nasnas, y a voulu planter un olivier afin que la vie pousse sous une autre forme et prolonge ainsi le souvenir de son époux, mais ceci n'a pas pu se faire faute de place. De nombreuses personnes étaient présentes. Famille, amis, confrères et patients qui ne se sont toujours pas remis de son départ cruel se sont rassemblés mardi pour immortaliser son souvenir.
Graziella Nasnas a lu un discours très émouvant dans lequel elle a évoqué son mari au présent. Preuve que la mort ne met pas un point final sur les vies, mais déplace ces dernières vers un monde invisible. Là, où la souffrance n’existe pas.
Graziella Nasnas a lu un discours très émouvant dans lequel elle a évoqué son mari au présent. Preuve que la mort ne met pas un point final sur les vies, mais déplace ces dernières vers un monde invisible. Là, où la souffrance n’existe pas.
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