Le président du Syndicat des enseignants des écoles privées, Nehmé Mahfoud, a insisté lundi que l’année scolaire ne pourra pas suivre son cours «si les droits élémentaires des enseignants ne sont pas assurés».
Dans un entretien accordé à la Voix du Liban, le syndicaliste a révélé qu’il est «toujours en attente d’une réunion avec le ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, et le Premier ministre chargé de l’expédition des affaires courantes, Najib Mikati», afin de trouver une solution viable aux problèmes auxquels font face les éducateurs de l’enseignement privé.
«Jeudi, les syndicats des enseignants et des professions libérales, ainsi que la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL) se rassembleront au siège de l’Ordre des pharmaciens pour faire pression sur la classe dirigeante afin qu’elle élise un président de la République et ravive la vie constitutionnelle», a-t-il indiqué.
Dans un entretien accordé à la Voix du Liban, le syndicaliste a révélé qu’il est «toujours en attente d’une réunion avec le ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, et le Premier ministre chargé de l’expédition des affaires courantes, Najib Mikati», afin de trouver une solution viable aux problèmes auxquels font face les éducateurs de l’enseignement privé.
«Jeudi, les syndicats des enseignants et des professions libérales, ainsi que la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL) se rassembleront au siège de l’Ordre des pharmaciens pour faire pression sur la classe dirigeante afin qu’elle élise un président de la République et ravive la vie constitutionnelle», a-t-il indiqué.
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