Suite à l’annonce de la proposition par le président américain Joe Biden de la nomination de l’ambassadrice US à Beyrouth, Dorothy Shea, au poste de représentante adjointe des États-Unis auprès des Nations Unies, la mission diplomatique au Liban a apporté des précisions.
La porte-parole de l'ambassade américaine à Beyrouth, Julia Groeblacher, a publié un communiqué vendredi, exprimant la « fierté » de l’ambassade suite à cette proposition, mais précisant « qu’il ne s’agit là que de la première étape d'un processus comportant plusieurs étapes pour un poste qui nécessite le consentement du Sénat américain ».
« En attendant, Mme Shea est toujours ici à Beyrouth en tant qu'ambassadrice des États-Unis au Liban », a-t-elle souligné.
« L’ambassadrice se réjouit de poursuivre son rôle dans le cadre de notre partenariat avec le peuple libanais », a précisé Julia Groeblacher, ajoutant que son pays travaille « pour aider à sauver l'économie libanaise et à promouvoir des solutions permettant de surmonter la paralysie politique, afin que le peuple puisse à nouveau avoir un président élu et un gouvernement responsabilisé, qui, idéalement, seraient engagés envers les réformes, la transparence et la bonne gouvernance ».
« Comme le dit toujours l'ambassadrice, nous sommes dans le même bateau », a-t-elle relevé.
La porte-parole de l'ambassade américaine à Beyrouth, Julia Groeblacher, a publié un communiqué vendredi, exprimant la « fierté » de l’ambassade suite à cette proposition, mais précisant « qu’il ne s’agit là que de la première étape d'un processus comportant plusieurs étapes pour un poste qui nécessite le consentement du Sénat américain ».
« En attendant, Mme Shea est toujours ici à Beyrouth en tant qu'ambassadrice des États-Unis au Liban », a-t-elle souligné.
« L’ambassadrice se réjouit de poursuivre son rôle dans le cadre de notre partenariat avec le peuple libanais », a précisé Julia Groeblacher, ajoutant que son pays travaille « pour aider à sauver l'économie libanaise et à promouvoir des solutions permettant de surmonter la paralysie politique, afin que le peuple puisse à nouveau avoir un président élu et un gouvernement responsabilisé, qui, idéalement, seraient engagés envers les réformes, la transparence et la bonne gouvernance ».
« Comme le dit toujours l'ambassadrice, nous sommes dans le même bateau », a-t-elle relevé.
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