Après avoir reçu des informations selon lesquelles une grande partie des conteneurs qui arrivent au port de Beyrouth en ressortent sans avoir été correctement contrôlés, la commission parlementaire des Travaux publics s’est rendue mercredi sur place pour inspecter le déroulement des opérations.
Il s’est avéré, comme l’a expliqué le président de la commission, Sajih Attié à Ici Beyrouth, que 18 inspecteurs seulement travaillent au port, «alors que nous en avons besoin de cent au moins pour bien inspecter les conteneurs», sachant que près de 600 sortent chaque jour du port.
Le nombre de scanneurs est également insuffisant. Quant aux manifestes (compilations de renseignements sur les marchandises transportées), ils ne sont pas électroniques, mais écrits à la main, ce qui permet aux transitaires de «jouer sur le contenu».
La commission a demandé au directeur des douanes au port de Beyrouth, Raymond Khoury, de lui envoyer un rapport clair sur les démarches nécessaires pour améliorer les modalités de contrôle des conteneurs. «Nous préconisons l’utilisation d’un système informatique mieux adapté aux besoins actuels», a insisté M. Attié.
Il s’est avéré, comme l’a expliqué le président de la commission, Sajih Attié à Ici Beyrouth, que 18 inspecteurs seulement travaillent au port, «alors que nous en avons besoin de cent au moins pour bien inspecter les conteneurs», sachant que près de 600 sortent chaque jour du port.
Le nombre de scanneurs est également insuffisant. Quant aux manifestes (compilations de renseignements sur les marchandises transportées), ils ne sont pas électroniques, mais écrits à la main, ce qui permet aux transitaires de «jouer sur le contenu».
La commission a demandé au directeur des douanes au port de Beyrouth, Raymond Khoury, de lui envoyer un rapport clair sur les démarches nécessaires pour améliorer les modalités de contrôle des conteneurs. «Nous préconisons l’utilisation d’un système informatique mieux adapté aux besoins actuels», a insisté M. Attié.
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