Le ministre sortant des Transports et des Travaux publics Ali Hamié a annoncé que son ministère avait réalisé une augmentation de ses revenus de plusieurs centaines de millions de dollars, pour l’année 2022, suite à la mise en œuvre des réformes et à l'application des lois.
Los d’une conférence de presse qu’il a tenue mardi, il a dévoilé les chiffres des bénéfices perçus auprès des services publics du ministère des Travaux publics et des Transports, en particulier des ports de Beyrouth et Tripoli ainsi que de l'aéroport pour l'année 2022.
M. Hamié a souligné que le processus d'activation qu'il a lancé dans les installations publiques du ministère, notamment dans les ports de Beyrouth et de Tripoli et à l'aéroport, s'est traduit par des recettes “libres’ sans avoir eu recours à des prêts.
Concernant le port de Beyrouth, le ministre a expliqué qu'à la fin de l'année 2021, il y avait trois grues opérationnelles sur 16 au terminal de conteneurs, avec des revenus totaux ne dépassant pas 300 mille dollars. “Avant de commencer la reconstruction du port, nous avons décidé d'y activer des travaux, d'y effectuer des réparations et d’appliquer un mécanisme juridique basé sur le fait que les entreprises qui facturent en dollars doivent payer l'État en dollars sans imposer de taxes au citoyen, ce qui fait que les revenus ont augmenté de façon exponentielle, passant de 437 000 dollars par mois en janvier 2022 à 10 millions de dollars par mois au cours du dernier trimestre 2022. Ce qui a permis de renflouer le Trésor les quatre derniers mois de 2022”, a-t-il expliqué avant d’ajouter: “Tout cela est le résultat de l'activation et de l'application des lois”.
Quant au port de Tripoli, "les recettes totales pour l'année 2021 s'élevaient à 52 milliards de LL avec un taux de change du dollar à près de trente mille livres". "Après la mise en oeuvre des réformes, les recettes mensuelles du port sont devenues équivalentes aux revenus de toute l'année 2021. Au cours des trois derniers mois de l'année 2022, les revenus mensuels sont désormais de 100 milliards de LL”, a révélé M. Hamié.
Quant aux revenus de l'aéroport international Rafic Hariri de Beyrouth, ils s'élevaient à 199 milliards de LL en 2021.
Et M. Hamié de poursuivre: "Après l'adoption des lois de réforme, ces revenus au cours du dernier trimestre 2022 s'élevaient à 62 millions de dollars directement reversés au trésor public sans majoration ou taxes pour les passagers, juste en appliquant la loi”.
Los d’une conférence de presse qu’il a tenue mardi, il a dévoilé les chiffres des bénéfices perçus auprès des services publics du ministère des Travaux publics et des Transports, en particulier des ports de Beyrouth et Tripoli ainsi que de l'aéroport pour l'année 2022.
M. Hamié a souligné que le processus d'activation qu'il a lancé dans les installations publiques du ministère, notamment dans les ports de Beyrouth et de Tripoli et à l'aéroport, s'est traduit par des recettes “libres’ sans avoir eu recours à des prêts.
Concernant le port de Beyrouth, le ministre a expliqué qu'à la fin de l'année 2021, il y avait trois grues opérationnelles sur 16 au terminal de conteneurs, avec des revenus totaux ne dépassant pas 300 mille dollars. “Avant de commencer la reconstruction du port, nous avons décidé d'y activer des travaux, d'y effectuer des réparations et d’appliquer un mécanisme juridique basé sur le fait que les entreprises qui facturent en dollars doivent payer l'État en dollars sans imposer de taxes au citoyen, ce qui fait que les revenus ont augmenté de façon exponentielle, passant de 437 000 dollars par mois en janvier 2022 à 10 millions de dollars par mois au cours du dernier trimestre 2022. Ce qui a permis de renflouer le Trésor les quatre derniers mois de 2022”, a-t-il expliqué avant d’ajouter: “Tout cela est le résultat de l'activation et de l'application des lois”.
Quant au port de Tripoli, "les recettes totales pour l'année 2021 s'élevaient à 52 milliards de LL avec un taux de change du dollar à près de trente mille livres". "Après la mise en oeuvre des réformes, les recettes mensuelles du port sont devenues équivalentes aux revenus de toute l'année 2021. Au cours des trois derniers mois de l'année 2022, les revenus mensuels sont désormais de 100 milliards de LL”, a révélé M. Hamié.
Quant aux revenus de l'aéroport international Rafic Hariri de Beyrouth, ils s'élevaient à 199 milliards de LL en 2021.
Et M. Hamié de poursuivre: "Après l'adoption des lois de réforme, ces revenus au cours du dernier trimestre 2022 s'élevaient à 62 millions de dollars directement reversés au trésor public sans majoration ou taxes pour les passagers, juste en appliquant la loi”.
Lire aussi
Commentaires