©Le défenseur de Manchester City et international néerlandais Nathan Ake célèbre son but face à Arsenal (1-0) en 16e de finale de la Coupe d'Angleterre, vendredi à Manchester. Oli Scarff/AFP
Pour leur première confrontation de la saison très attendue, Manchester City a pris le dessus sur Arsenal (1-0) en 16e de finale de la Coupe d'Angleterre, vendredi.
Leaders en Premier League avec cinq points d'avance et un match en moins, les Gunners ont néanmoins démontré qu'il sera très compliqué de les déloger en championnat.
Avec Matt Turner dans les cages, Rob Holding en défense, Fabio Vieira au milieu et Leandro Trossard titularisé pour la première fois en attaque, Mikel Arteta avait opéré pas mal de rotations, là où Pep Guardiola avait choisi un onze assez classique avec Erling Haaland en pointe, Kevin de Bruyne, Riyad Mahrez, Jack Grealish ou Ilkay Gündogan.
Malgré cela, Arsenal a fait mieux que tenir tête en première période, les premières alertes étant provoquées par Trossard qui a trouvé Takehiro Tomiyasu pour une frappe repoussée par Stefan Ortega (5e), avant que le Belge ne tente lui-même sa chance, pour le même résultat (21e).
Mais le match a progressivement changé d'âme, d'abord avec la sortie à la pause de Thomas Partey, côté Arsenal.
Sans son puissant Ghanéen, les Londoniens ont progressivement laissé le contrôle du jeu à City et le passage en 4-4-2 avec l'entrée de Julian Alvarez à la place de Mahrez (58e), peu inspiré, a fait basculer le match.
Quelques secondes après que l'Argentin eut trouvé le poteau, Grealish a servi en retrait Nathan Ake et la frappe au ras du sol et enroulée du Néerlandais a trouvé le petit filet opposé de Turner (1-0, 65e).
Arsenal a ensuite fait le siège du but de City, Arteta lançant Oleksandr Zinchenko, Gabriel Martinelli et Martin Odegaard dans la bataille, mais le gardien remplaçant de City a été très vigilant et a finalement peu tremblé.
La victoire d'un côté, une bonne prestation malgré une équipe remaniée de l'autre, Guardiola et Arteta, le maître et son élève, auront tous deux des motifs de satisfaction après ce match.
Mais le rendez-vous du 15 février, en championnat et à l'Emirates, cette fois, sera autrement plus crucial pour la saison des deux clubs.
Leaders en Premier League avec cinq points d'avance et un match en moins, les Gunners ont néanmoins démontré qu'il sera très compliqué de les déloger en championnat.
Avec Matt Turner dans les cages, Rob Holding en défense, Fabio Vieira au milieu et Leandro Trossard titularisé pour la première fois en attaque, Mikel Arteta avait opéré pas mal de rotations, là où Pep Guardiola avait choisi un onze assez classique avec Erling Haaland en pointe, Kevin de Bruyne, Riyad Mahrez, Jack Grealish ou Ilkay Gündogan.
Malgré cela, Arsenal a fait mieux que tenir tête en première période, les premières alertes étant provoquées par Trossard qui a trouvé Takehiro Tomiyasu pour une frappe repoussée par Stefan Ortega (5e), avant que le Belge ne tente lui-même sa chance, pour le même résultat (21e).
Mais le match a progressivement changé d'âme, d'abord avec la sortie à la pause de Thomas Partey, côté Arsenal.
Sans son puissant Ghanéen, les Londoniens ont progressivement laissé le contrôle du jeu à City et le passage en 4-4-2 avec l'entrée de Julian Alvarez à la place de Mahrez (58e), peu inspiré, a fait basculer le match.
Quelques secondes après que l'Argentin eut trouvé le poteau, Grealish a servi en retrait Nathan Ake et la frappe au ras du sol et enroulée du Néerlandais a trouvé le petit filet opposé de Turner (1-0, 65e).
Arsenal a ensuite fait le siège du but de City, Arteta lançant Oleksandr Zinchenko, Gabriel Martinelli et Martin Odegaard dans la bataille, mais le gardien remplaçant de City a été très vigilant et a finalement peu tremblé.
La victoire d'un côté, une bonne prestation malgré une équipe remaniée de l'autre, Guardiola et Arteta, le maître et son élève, auront tous deux des motifs de satisfaction après ce match.
Mais le rendez-vous du 15 février, en championnat et à l'Emirates, cette fois, sera autrement plus crucial pour la saison des deux clubs.
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