Le Conseil central de la Banque du Liban (BDL) doit se réunir lundi après-midi, sous la présidence du gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, pour discuter de la situation monétaire et des moyens de contrôler le taux de change du dollar après que celui-ci ait franchi la barre des soixante mille livres.
Des sources financières citées par l’agence al-Markaziya ont indiqué que le gouverneur étudirait la possibilité d’intervenir à nouveau sur le marché des devises en activant la plate-forme Sayrafa. Il est attendu que ce taux passe de 38.000 livres à 45.000 livres.
Toujours selon les mêmes milieux, des mesures précises seront présentées susceptibles de donner des résultats rapides et efficaces qui contribueront à freiner la flambée du dollar et son impact sur tous les secteurs.
Le Conseil central suivra également le passage du taux de change officiel de 1.507 à 15.000 livres libanaises, à partir du 1er février et la possibilité de contrôler la quantité de livres libanaises en circulation en déterminant le volume des retraits autorisés.
Toutefois, une source bancaire informée citée par l’agence Al Markaziya a estimé que ces mesures ne sont rien d'autre que des tentatives disparates qui n'empêcheront pas la hausse du dollar à des niveaux records. La base de toute solution, pour elle, est l'élection d'un nouveau président de la République, la formation d'un gouvernement qui mettra en œuvre une feuille de route pour le redressement économique.
Des sources financières citées par l’agence al-Markaziya ont indiqué que le gouverneur étudirait la possibilité d’intervenir à nouveau sur le marché des devises en activant la plate-forme Sayrafa. Il est attendu que ce taux passe de 38.000 livres à 45.000 livres.
Toujours selon les mêmes milieux, des mesures précises seront présentées susceptibles de donner des résultats rapides et efficaces qui contribueront à freiner la flambée du dollar et son impact sur tous les secteurs.
Le Conseil central suivra également le passage du taux de change officiel de 1.507 à 15.000 livres libanaises, à partir du 1er février et la possibilité de contrôler la quantité de livres libanaises en circulation en déterminant le volume des retraits autorisés.
Toutefois, une source bancaire informée citée par l’agence Al Markaziya a estimé que ces mesures ne sont rien d'autre que des tentatives disparates qui n'empêcheront pas la hausse du dollar à des niveaux records. La base de toute solution, pour elle, est l'élection d'un nouveau président de la République, la formation d'un gouvernement qui mettra en œuvre une feuille de route pour le redressement économique.
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