Le président Biden a refusé de trancher sur l'octroi d'armes supplémentaires à l'Ukraine, affirmant qu'il allait en "parler" avec son homologue ukrainien, après que celui-ci a demandé l'envoi d'avions F16 et de missiles à longue portée.
Le président américain Joe Biden a déclaré mardi qu'il "allait parler" à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des demandes d'aide militaire supplémentaire que ce dernier a formulées. (AFP)
Le président américain Joe Biden a déclaré mardi qu'il "allait parler" à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des demandes d'aide militaire supplémentaire que ce dernier a formulées.
"Nous allons en parler", a-t-il dit à un groupe de journalistes à la Maison-Blanche, après avoir été interrogé sur les demandes du président ukrainien, qui réclame notamment des avions de combat et des missiles à longue portée pour combattre la Russie.
Lundi, Joe Biden avait sèchement exclu de fournir à l'Ukraine des avions américains. À la question "les États-Unis vont-ils fournir des F-16 à l'Ukraine?", il avait répondu: "Non."
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l'aide militaire apportée à l'Ukraine, après que l'Allemagne et les États-Unis ont annoncé l'envoi de chars, au terme de discussions difficiles.
L'armée ukrainienne va recevoir "entre 120 et 140" chars occidentaux, a affirmé mardi le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, livrant ainsi la première estimation du nombre total de blindés lourds qui devraient être donnés à l'Ukraine.
Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d'avions de combat.
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que "par définition, rien (n'était) exclu", tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l'aide militaire apportée à l'Ukraine, après que l'Allemagne et les États-Unis ont annoncé l'envoi de chars, au terme de discussions difficiles. (AFP)
Les États-Unis ont affirmé mardi que la Russie ne respectait pas le traité New Start, dernier accord de désarmement nucléaire les liant.
La diplomatie américaine a reproché à Moscou d'avoir suspendu des inspections et annulé des pourparlers prévus dans le cadre de cet accord, sans pour autant l'accuser d'avoir étendu son arsenal nucléaire au-delà des limites convenues.
Forts de leur nouvelle majorité à la Chambre des représentants, les républicains avaient demandé au chef de la diplomatie américaine Antony Blinken de leur signaler d'ici mardi si la Russie violait ce traité.
"La Russie ne respecte pas l'obligation que lui impose le traité New Start de faciliter les activités d'inspection sur son territoire", a estimé un porte-parole du département d'État.
Il a assuré que le pays "disposait d'une voie toute tracée pour revenir à une conformité totale".
Avec AFP
Le président américain Joe Biden a déclaré mardi qu'il "allait parler" à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des demandes d'aide militaire supplémentaire que ce dernier a formulées. (AFP)
Le président américain Joe Biden a déclaré mardi qu'il "allait parler" à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky des demandes d'aide militaire supplémentaire que ce dernier a formulées.
"Nous allons en parler", a-t-il dit à un groupe de journalistes à la Maison-Blanche, après avoir été interrogé sur les demandes du président ukrainien, qui réclame notamment des avions de combat et des missiles à longue portée pour combattre la Russie.
Lundi, Joe Biden avait sèchement exclu de fournir à l'Ukraine des avions américains. À la question "les États-Unis vont-ils fournir des F-16 à l'Ukraine?", il avait répondu: "Non."
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l'aide militaire apportée à l'Ukraine, après que l'Allemagne et les États-Unis ont annoncé l'envoi de chars, au terme de discussions difficiles.
L'armée ukrainienne va recevoir "entre 120 et 140" chars occidentaux, a affirmé mardi le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, livrant ainsi la première estimation du nombre total de blindés lourds qui devraient être donnés à l'Ukraine.
Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d'avions de combat.
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que "par définition, rien (n'était) exclu", tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
Suspicions de prolifération nucléaire
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l'aide militaire apportée à l'Ukraine, après que l'Allemagne et les États-Unis ont annoncé l'envoi de chars, au terme de discussions difficiles. (AFP)
Les États-Unis ont affirmé mardi que la Russie ne respectait pas le traité New Start, dernier accord de désarmement nucléaire les liant.
La diplomatie américaine a reproché à Moscou d'avoir suspendu des inspections et annulé des pourparlers prévus dans le cadre de cet accord, sans pour autant l'accuser d'avoir étendu son arsenal nucléaire au-delà des limites convenues.
Forts de leur nouvelle majorité à la Chambre des représentants, les républicains avaient demandé au chef de la diplomatie américaine Antony Blinken de leur signaler d'ici mardi si la Russie violait ce traité.
"La Russie ne respecte pas l'obligation que lui impose le traité New Start de faciliter les activités d'inspection sur son territoire", a estimé un porte-parole du département d'État.
Il a assuré que le pays "disposait d'une voie toute tracée pour revenir à une conformité totale".
Avec AFP
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