Entre dimanche soir et lundi à l'aube, le Liban a vécu une double secousse: celle ressentie en visionnant l’excellente enquête sur le Hezbollah, brillamment menée par Sofia Amara et Jérôme Fritel, et celle due au séisme qui a frappé la Turquie et qui a brutalement réveillé les Libanais – désormais rompus aux catastrophes – à 3h20 du matin. Dimanche soir, nous avons eu droit à un thriller haletant qui nous a montré une face encore plus noire du Hezbollah, avec ses trafics odieux et la puissance de sa nuisance. Mais le plus décevant dans tout cela, c’est le comportement de l’Occident qui n’a pas hésité à jeter le sort du peuple libanais en pâture à cette mafia alors qu’il avait le pouvoir de mettre tous ses pontes en prison. Nous sommes loin d’être crédules. L’intérêt enrobé de pitié manifesté pour le Liban n’est qu’un «screen saver» habilement créé pour occulter la place stratégique qu’il occupe aux yeux des grandes puissances. Petit appendice arraché à sa «grande sœur» mygale qui ne se remet pas encore de cette séparation et qui l’a phagocyté pour toujours.
Hier, nous avons vu de nos propres yeux dans le documentaire intitulé Hezbollah, l'enquête interdite diffusé sur France 5, ce que voulait dire la culture de la mort, celle des lavés du cerveau, de ceux qui prient leur dieu de leur donner des fils pour offrir au moins l’un d’eux en sacrifice au «djihad» et célébrer sa mort comme des noces, autour de sa dépouille, dans la joie et la gratitude.
Non, désolés, nous n’appartenons pas au même monde et encore moins à la même culture. Nous adorons la vie, l’ivresse et la jouissance qui en découlent.
Nous sommes faits pour vivre sous le soleil exactement, là où nous ne risquons pas de vous croiser, et nulle part ailleurs. Nous aimons danser, nager en bikini; lire, écrire, peindre, voyager et profiter de chaque seconde que la vie nous offre. Vous comprenez bien que cette vie souterraine qui vous aimante ne nous sied absolument pas.
Vous avez sciemment atomisé la partie de Beyrouth qui vous dérange le plus, la vitrine éclectique représentative de cette modernité que vous avez en horreur. Vous faites tout pour dégoûter à jamais ceux qui s’accrochent encore aux lambeaux de ce qui leur fait encore office de pays. Et vous avez réussi en partie: l’exode des cerveaux et des forces vives du pays a été massif.
Vous nous appauvrissez tous les jours un peu plus, vous qui dealez avec les cartels de drogue les plus exécrables du monde et qui brassez des milliards de dollars...allant même jusqu'à «payer» vos dûs en cocaïne! Mais non, vous vous trompez lourdement! Aussi désespérés que nous soyons, nous n’allons pas vous livrer notre part de la patrie, celle-là même qui fut bénie des dieux avant que vous n'existiez. Bien avant que "l'ogre" que vous êtes ne la grignote, pour mieux la dévorer...
En espérant qu'une catastrophe naturelle nous rende justice et vous déloge de là où vous vous terrez, libérant (enfin) notre pays de votre diktat morbide.
Hier, nous avons vu de nos propres yeux dans le documentaire intitulé Hezbollah, l'enquête interdite diffusé sur France 5, ce que voulait dire la culture de la mort, celle des lavés du cerveau, de ceux qui prient leur dieu de leur donner des fils pour offrir au moins l’un d’eux en sacrifice au «djihad» et célébrer sa mort comme des noces, autour de sa dépouille, dans la joie et la gratitude.
Non, désolés, nous n’appartenons pas au même monde et encore moins à la même culture. Nous adorons la vie, l’ivresse et la jouissance qui en découlent.
Nous sommes faits pour vivre sous le soleil exactement, là où nous ne risquons pas de vous croiser, et nulle part ailleurs. Nous aimons danser, nager en bikini; lire, écrire, peindre, voyager et profiter de chaque seconde que la vie nous offre. Vous comprenez bien que cette vie souterraine qui vous aimante ne nous sied absolument pas.
Vous avez sciemment atomisé la partie de Beyrouth qui vous dérange le plus, la vitrine éclectique représentative de cette modernité que vous avez en horreur. Vous faites tout pour dégoûter à jamais ceux qui s’accrochent encore aux lambeaux de ce qui leur fait encore office de pays. Et vous avez réussi en partie: l’exode des cerveaux et des forces vives du pays a été massif.
Vous nous appauvrissez tous les jours un peu plus, vous qui dealez avec les cartels de drogue les plus exécrables du monde et qui brassez des milliards de dollars...allant même jusqu'à «payer» vos dûs en cocaïne! Mais non, vous vous trompez lourdement! Aussi désespérés que nous soyons, nous n’allons pas vous livrer notre part de la patrie, celle-là même qui fut bénie des dieux avant que vous n'existiez. Bien avant que "l'ogre" que vous êtes ne la grignote, pour mieux la dévorer...
En espérant qu'une catastrophe naturelle nous rende justice et vous déloge de là où vous vous terrez, libérant (enfin) notre pays de votre diktat morbide.
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