Un navire baptisé «Sky Light» transportant du nitrate d’ammonium a été interdit d’accès au port de Beyrouth mardi, après une première tentative de décharger sa cargaison au port de Saïda.
Selon des informations rapportées par la chaîne télévisée libanaise MTV, le capitaine de ce navire aurait demandé une autorisation pour entrer au port de Beyrouth, afin de remédier à une panne technique, en accostant sur le quai numéro 14. Cette requête a aussitôt été rejetée par le directeur général du port, Omar Irani, lui interdisant l’accès au port.
Par ailleurs, le ministre sortant de l'Agriculture Abbas el-Hajj Hassan a indiqué que des équipes affectées à son ministère ont prélevé des échantillons du nitrate présent à bord pour les analyser dans un laboratoire spécialisé. "Nous ne permettrons pas que la cargaison soit déchargée au Liban si le type de nitrate d'ammonium transporté pourrait représenter ne serait-ce qu'un pour cent de danger", a-t-il assuré au site d'informations libanais, Houna Lubnan.
Serait-ce une réédition du scénario ayant mené à la catastrophe du 4 août 2020?
Selon des informations rapportées par la chaîne télévisée libanaise MTV, le capitaine de ce navire aurait demandé une autorisation pour entrer au port de Beyrouth, afin de remédier à une panne technique, en accostant sur le quai numéro 14. Cette requête a aussitôt été rejetée par le directeur général du port, Omar Irani, lui interdisant l’accès au port.
Par ailleurs, le ministre sortant de l'Agriculture Abbas el-Hajj Hassan a indiqué que des équipes affectées à son ministère ont prélevé des échantillons du nitrate présent à bord pour les analyser dans un laboratoire spécialisé. "Nous ne permettrons pas que la cargaison soit déchargée au Liban si le type de nitrate d'ammonium transporté pourrait représenter ne serait-ce qu'un pour cent de danger", a-t-il assuré au site d'informations libanais, Houna Lubnan.
Pour sa part, le ministre sortant de l'Intérieur, Bassam Maoulaoui, a adressé une lettre aux ministères de la Défense, des Finances, des Travaux publics et des Transports, de l’Agriculture, ainsi qu’à la Cour de cassation, au secrétariat général du Conseil supérieur de la Défense, aux directions générales des Forces de sécurité intérieure, de la Sûreté générale, de la Sécurité de l’État et à la direction de la présidence du Conseil des ministres, pour s’assurer de la véracité des faits. M. Maoulaoui a également demandé aux autorités concernées de prendre les mesures nécessaires pour empêcher le navire d’accoster et de décharger sa cargaison, s’il s’avère que les informations qui circulent à ce sujet sont confirmées.
Serait-ce une réédition du scénario ayant mené à la catastrophe du 4 août 2020?
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