"Abou Ali", pour le compte duquel bon nombre de narcotrafiquants travaillent dans la banlieue sud de Beyrouth, a été arrêté par les FSI.
Les Forces de sécurité intérieure (FSI) ont annoncé vendredi avoir arrêté l’un des plus dangereux trafiquants de drogue, surnommé Abou Ali, pour le compte duquel bon nombre de narcotrafiquants travaillent dans la banlieue sud de Beyrouth.
C’est dans le village de Aramoun que H.M. (Libanais, né en 1993), connu sous le surnom d’Abou Ali, a été retrouvé par le service des renseignements des FSI, le 31 janvier 2023, après plusieurs mois de recherche et d’opérations de surveillance. Lors de la perquisition de son domicile, les FSI ont réussi à l’arrêter avec son frère A.M. (Libanais, né en 1992).
Elles y ont également saisi des armes et de la drogue : un fusil Kalachnikov, 2 grenades, un pistolet de guerre, une machette, un poignard, une grande quantité de munitions, 114 sacs (125 g) ainsi que 4 boites et 35 capsules (138 g) de cocaïne, 14 sacs (80 g) de marijuana, 2 kg de cannabis, des pilules narcotiques, un faux billet de 50$, des sommes d’argent et 18 téléphones portables.
Elles ont saisi aussi deux véhicules (Nissan et Chevrolet), deux motos ainsi que tout le matériel nécessaire à l’empaquetage des drogues.
Lors de son interrogatoire, Abou Ali a reconnu « exercer ce métier » depuis cinq ans et son frère a avoué être impliqué dans le trafic de drogue.
Les deux coupables ont été déférés devant les autorités judiciaires compétentes.
Les Forces de sécurité intérieure (FSI) ont annoncé vendredi avoir arrêté l’un des plus dangereux trafiquants de drogue, surnommé Abou Ali, pour le compte duquel bon nombre de narcotrafiquants travaillent dans la banlieue sud de Beyrouth.
C’est dans le village de Aramoun que H.M. (Libanais, né en 1993), connu sous le surnom d’Abou Ali, a été retrouvé par le service des renseignements des FSI, le 31 janvier 2023, après plusieurs mois de recherche et d’opérations de surveillance. Lors de la perquisition de son domicile, les FSI ont réussi à l’arrêter avec son frère A.M. (Libanais, né en 1992).
Elles y ont également saisi des armes et de la drogue : un fusil Kalachnikov, 2 grenades, un pistolet de guerre, une machette, un poignard, une grande quantité de munitions, 114 sacs (125 g) ainsi que 4 boites et 35 capsules (138 g) de cocaïne, 14 sacs (80 g) de marijuana, 2 kg de cannabis, des pilules narcotiques, un faux billet de 50$, des sommes d’argent et 18 téléphones portables.
Elles ont saisi aussi deux véhicules (Nissan et Chevrolet), deux motos ainsi que tout le matériel nécessaire à l’empaquetage des drogues.
Lors de son interrogatoire, Abou Ali a reconnu « exercer ce métier » depuis cinq ans et son frère a avoué être impliqué dans le trafic de drogue.
Les deux coupables ont été déférés devant les autorités judiciaires compétentes.
Lire aussi
Commentaires