Un responsable sécuritaire israélien a révélé samedi que "l’Iran pourrait profiter de la situation actuelle en Syrie pour envoyer de l’aide militaire au Hezbollah sous couvert d’aide humanitaire" au peuple syrien meurtri suite aux séismes qui ont frappé la Turquie et la Syrie lundi à l’aube.
Selon le journal israélien Maariv, "Israël n’hésitera pas à frapper les munitions iraniennes transférées en Syrie", a fait valoir le responsable israélien, rappelant à cet égard que "Téhéran avait tenté par le passé de transférer des armes par le biais de camion chargés, entre autres, de fruits et de légumes." Il a par ailleurs noté que l’État hébreu a "intensifié la surveillance" dans toutes les régions marquées par l’implantation iranienne, et que "le personnel israélien s’emploie à localiser les camions iraniens et leurs contenus. "
En ce qui concerne l'aide humanitaire aux victimes du tremblement de terre, le responsable susmentionné a affirmé que "l'armée israélienne n'avait pas reçu pour instruction de fournir à la Syrie des médicaments ou du matériel", mais que par contre "Israël serait prêt à aider en cas de besoin et sur demande". Une déclaration qui demeure ambiguë notamment au vue du blocus international imposé sur la Syrie.
Selon le journal israélien Maariv, "Israël n’hésitera pas à frapper les munitions iraniennes transférées en Syrie", a fait valoir le responsable israélien, rappelant à cet égard que "Téhéran avait tenté par le passé de transférer des armes par le biais de camion chargés, entre autres, de fruits et de légumes." Il a par ailleurs noté que l’État hébreu a "intensifié la surveillance" dans toutes les régions marquées par l’implantation iranienne, et que "le personnel israélien s’emploie à localiser les camions iraniens et leurs contenus. "
En ce qui concerne l'aide humanitaire aux victimes du tremblement de terre, le responsable susmentionné a affirmé que "l'armée israélienne n'avait pas reçu pour instruction de fournir à la Syrie des médicaments ou du matériel", mais que par contre "Israël serait prêt à aider en cas de besoin et sur demande". Une déclaration qui demeure ambiguë notamment au vue du blocus international imposé sur la Syrie.
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