« L’amour est le pont entre vous et toute chose. » Rumi
En ce 14 février d’une année dont les enjeux requièrent à mon sens tout notre amour, j’ai choisi l’inspiration que nous donne ce grand poète persan du XIIIe siècle, issu de la tradition mystique soufie. Le souffle, chez Rumi, vient de ce que son enseignement et son œuvre portent un message d’amour universel, et même transcendantal : l’amour est pour lui la condition de possibilité de toute connaissance vraie, et le motif originel de toute chose.
Pour ma part, je comprends cette citation puissante comme l’expression poétique d’une vérité QUANTIQUE, originelle en effet, de celles que désormais prouvent les physiciens après John Wheeler et Einstein.
S’il existe un pont possible entre nous et toute chose, c’est parce qu’existe ce « Champ quantique » ou « Divine matrice » qui contient, relie et reflète tout ce que nous percevons comme notre réalité.
Ce Champ est énergie ; immense énergie née de la danse de particules innombrables venant donner forme à notre corps, à notre monde, à notre vie.
Et ce Champ interagit avec nous, il répond à notre propre énergie, vibrations électromagnétiques que chacun émet et dont la plus puissante est celle de l’amour. Comme le dit aussi Rumi, ce sont les vagues (les ondes) de l’amour qui font tourner les rouages des cieux (du cosmos).
Quand vous aimez, rien ne peut vous limiter ni vous emprisonner. C’est en cela qu’un passage vous est promis.
Parfois, vous ressentez en vous un appel ou un élan. La psychanalyse le nomme « Désir ». Il vous oriente vers ce que vous aimez profondément.
Nous n’avons pas à chercher le désir et l’amour en nous, mais à les libérer. De nos peurs, croyances limitantes ou traumas non guéris qui souvent nous déconnectent et nous emmurent.
C’est notre nature même de nous projeter, nous élever, nous augmenter. Chaque franchissement n’est pas une fin, mais un lieu de passage.
Nous contenons déjà tous les possibles : toutes les visions, toutes les voies, toutes les destinations. Il nous suffit de choisir, à la lumière de notre amour.
L’amour n’est pas une émotion. C’est notre existence même. Notre énergie première, notre pouvoir, notre force. Ainsi, entre nous et ce que nous désirons vraiment, un pont, forcément, apparaît. À force d’amour.
https://www.facebook.com/callegarisabine
@sabinecallegari
En ce 14 février d’une année dont les enjeux requièrent à mon sens tout notre amour, j’ai choisi l’inspiration que nous donne ce grand poète persan du XIIIe siècle, issu de la tradition mystique soufie. Le souffle, chez Rumi, vient de ce que son enseignement et son œuvre portent un message d’amour universel, et même transcendantal : l’amour est pour lui la condition de possibilité de toute connaissance vraie, et le motif originel de toute chose.
Pour ma part, je comprends cette citation puissante comme l’expression poétique d’une vérité QUANTIQUE, originelle en effet, de celles que désormais prouvent les physiciens après John Wheeler et Einstein.
S’il existe un pont possible entre nous et toute chose, c’est parce qu’existe ce « Champ quantique » ou « Divine matrice » qui contient, relie et reflète tout ce que nous percevons comme notre réalité.
Ce Champ est énergie ; immense énergie née de la danse de particules innombrables venant donner forme à notre corps, à notre monde, à notre vie.
Et ce Champ interagit avec nous, il répond à notre propre énergie, vibrations électromagnétiques que chacun émet et dont la plus puissante est celle de l’amour. Comme le dit aussi Rumi, ce sont les vagues (les ondes) de l’amour qui font tourner les rouages des cieux (du cosmos).
Quand vous aimez, rien ne peut vous limiter ni vous emprisonner. C’est en cela qu’un passage vous est promis.
Parfois, vous ressentez en vous un appel ou un élan. La psychanalyse le nomme « Désir ». Il vous oriente vers ce que vous aimez profondément.
Nous n’avons pas à chercher le désir et l’amour en nous, mais à les libérer. De nos peurs, croyances limitantes ou traumas non guéris qui souvent nous déconnectent et nous emmurent.
C’est notre nature même de nous projeter, nous élever, nous augmenter. Chaque franchissement n’est pas une fin, mais un lieu de passage.
Nous contenons déjà tous les possibles : toutes les visions, toutes les voies, toutes les destinations. Il nous suffit de choisir, à la lumière de notre amour.
L’amour n’est pas une émotion. C’est notre existence même. Notre énergie première, notre pouvoir, notre force. Ainsi, entre nous et ce que nous désirons vraiment, un pont, forcément, apparaît. À force d’amour.
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