Le patriarche maronite, Mgr Bechara Raï, qui a présidé la messe dominicale à Bkerké, est revenu à la charge au sujet de l'importance des prochaines législatives, dans la perspective du changement qu’elles peuvent induire, en critiquant violemment le blocage politique pratiqué par le tandem chiite, Amal et le Hezbollah, qu’il n’a pas cependant nommé.
« Les gens se félicitent normalement pour le bien réalisé et non pas pour le mal, la destruction, le blocage et l’appauvrissement. Nous félicitons les responsables politiques et les partis influents pour leurs réalisations en faveur du pays. Quant à ceux qui parmi eux paralysent l’Etat, ils ne méritent que la condamnation et les reproches », a-t-il affirmé dans son homélie ; dans une allusion directe au tandem chiite qui boycotte le gouvernement, bloquant de la sorte le processus censé mettre le Liban sur la voie d’un redressement urgent, pour obtenir le dessaisissement du juge d’instruction Tarek Bitar, du dossier de l’enquête sur l’explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth.
C’est dans ce contexte qu’il a mis l’accent sur l’importance des prochaines législatives, affirmant que « les Libanais attendent avec impatience la tenue des élections en mai prochain afin d'exercer leur droit constitutionnel à demander des comptes" aux responsables politiques.
« Les Libanais aspirent à voir une nouvelle génération d'hommes politiques qui bénéficie de compétences en matière de leadership et de bonne gouvernance, qui saisit l’importance de la neutralité du pays et son rôle pacifique dans la région, surtout qu’il se sont assurés de l’absence de toute chance de réformes et de changement et de sauvetage avec un groupe politique qui a miné le pays depuis plus de trente ans », a-t-il ajouté. Et d’insister : « Notre peuple aspire à une nouvelle génération d’hommes capables d’assumer leurs responsabilités nationales avec courage et en toute intégrité, de présenter un programme de travail clair, en politique d’abord, ensuite dans les domaines économique, social et financier ».
« Les gens se félicitent normalement pour le bien réalisé et non pas pour le mal, la destruction, le blocage et l’appauvrissement. Nous félicitons les responsables politiques et les partis influents pour leurs réalisations en faveur du pays. Quant à ceux qui parmi eux paralysent l’Etat, ils ne méritent que la condamnation et les reproches », a-t-il affirmé dans son homélie ; dans une allusion directe au tandem chiite qui boycotte le gouvernement, bloquant de la sorte le processus censé mettre le Liban sur la voie d’un redressement urgent, pour obtenir le dessaisissement du juge d’instruction Tarek Bitar, du dossier de l’enquête sur l’explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth.
C’est dans ce contexte qu’il a mis l’accent sur l’importance des prochaines législatives, affirmant que « les Libanais attendent avec impatience la tenue des élections en mai prochain afin d'exercer leur droit constitutionnel à demander des comptes" aux responsables politiques.
« Les Libanais aspirent à voir une nouvelle génération d'hommes politiques qui bénéficie de compétences en matière de leadership et de bonne gouvernance, qui saisit l’importance de la neutralité du pays et son rôle pacifique dans la région, surtout qu’il se sont assurés de l’absence de toute chance de réformes et de changement et de sauvetage avec un groupe politique qui a miné le pays depuis plus de trente ans », a-t-il ajouté. Et d’insister : « Notre peuple aspire à une nouvelle génération d’hommes capables d’assumer leurs responsabilités nationales avec courage et en toute intégrité, de présenter un programme de travail clair, en politique d’abord, ensuite dans les domaines économique, social et financier ».
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