Les évêques maronites ont appelé les députés à assumer leur responsabilité nationale qui est celle d'élire un nouveau président de la République, considérant que « la fuir ne fait qu’aggraver la situation ». Ils ont estimé qu’à l’heure où les pays « amis » nous incitent à sauver le pays, le Liban souffre d’un vide qui rend sa gestion difficile.
Dans le cadre de sa réunion mensuelle à Bkerké, le Conseil des évêques maronites a invité le gouvernement à « œuvrer dans le cadre de la Constitution et à éviter tout ce qui entraverait l’intérêt public ». Pour eux, mettre fin au conflit dévastateur dans lequel s’enfonce le pouvoir judiciaire et les institutions bancaires, est impératif pour éviter tout isolement du Liban de la scène mondiale sur le plan financier. Une telle crise risque également « d'empêcher les particuliers et les entreprises de garantir leurs besoins », ont ajouté les prélats.
Dans leur communiqué, ils ont exprimé leur « crainte de toute escalade qui pourrait mettre en danger la sécurité du pays et augmenter le taux de criminalité ». Ils se sont penchés aussi sur l’éducation au Liban, qui est grandement affecté par la crise, « ce qui pourrait mettre fin à l’année académique tant pour les écoliers que pour les universitaires du secteur public ».
Ils ont en outre décidé que le vendredi 10 mars sera une journée consacrée à la prière pour l’élection d’un nouveau président de la République.
Dans le cadre de sa réunion mensuelle à Bkerké, le Conseil des évêques maronites a invité le gouvernement à « œuvrer dans le cadre de la Constitution et à éviter tout ce qui entraverait l’intérêt public ». Pour eux, mettre fin au conflit dévastateur dans lequel s’enfonce le pouvoir judiciaire et les institutions bancaires, est impératif pour éviter tout isolement du Liban de la scène mondiale sur le plan financier. Une telle crise risque également « d'empêcher les particuliers et les entreprises de garantir leurs besoins », ont ajouté les prélats.
Dans leur communiqué, ils ont exprimé leur « crainte de toute escalade qui pourrait mettre en danger la sécurité du pays et augmenter le taux de criminalité ». Ils se sont penchés aussi sur l’éducation au Liban, qui est grandement affecté par la crise, « ce qui pourrait mettre fin à l’année académique tant pour les écoliers que pour les universitaires du secteur public ».
Ils ont en outre décidé que le vendredi 10 mars sera une journée consacrée à la prière pour l’élection d’un nouveau président de la République.
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