©Photo Adrian Dennis AFP
Longtemps maladroit devant le but, Chelsea a réussi à renverser Dortmund (0-1, 2-0), mardi en huitième de finale retour de la Ligue des champions, une victoire qui pourrait faire beaucoup de bien aux Blues et à leur entraîneur, Graham Potter.
Pour Dortmund, qui avait remporté ses 10 matches depuis le retour du Mondial, le retour sur terre peut paraître sévère, mais sur l'ensemble des deux matches, il n'y a pas à crier à l'injustice. A l'aller déjà, les Londoniens s'étaient créé plusieurs belles occasions, notamment une frappe sur la barre de Joao Felix, et ce manque de réussite a encore rythmé le plus clair de la première période.
Après un coup d'envoi repoussé de dix minutes, en raison des difficultés d'accès du Borussia au stade, les Allemands ont compris rapidement que la soirée serait compliquée. Non seulement leurs adversaires ont attaqué le match pied au plancher mais ils ont perdu, dès la 5e minute de jeu, l'un de leurs atouts offensifs majeurs avec la blessure à une cuisse de Julian Brandt.
Mais cela n'enlève rien au mérite de Chelsea, qui a fait tout ce qu'il fallait pour l'emporter devant un Potter parfois critiqué pour son côté trop placide et qui, cette fois, a agité les bras pour donner des directives ou encourager le public à être plus bruyant.
Dès la 6e minute, Joao Felix a forcé Alexander Meyer qui remplaçait Gregor Kobel dans les cages, à une sortie dans ses pieds, avant que Emre Can, d'une poussette dans le dos ne déséquilibre Kai Havertz au moment de sa frappe, qui n'a trouvé que le petit filet extérieur (8e). L'Allemand, symbole des problèmes offensifs de son équipe, a encore trouvé le poteau à la 28e et quand il a mis le ballon dans la lucarne adverse, dix minutes plus tard, il a vu dans la foulée son but annulé pour un hors-jeu de Raheem Sterling au départ.
Un pénalty décisif à rebondissements
Pressé sur son but, Dortmund a été tout heureux de voir Kalidou Koulibaly rater sa reprise à cinq mètres de la ligne, avant que Meyer ne s'interpose encore devant Felix (40e). Mais les Blues ont fini par percer le verrou adverse quand la chance leur a enfin souri avec deux contres favorables dans la surface de réparation pour Sterling qui a ensuite catapulté la balle au fond des filets de l'extérieur (1-0, 43e).
Au retour des vestiaires, Chelsea est reparti de plus belle à l'assaut et a obtenu un pénalty dès les premières secondes pour une main adverse, après visionnage des images par l'arbitre sur le bord du terrain. Havertz l'a d'abord envoyé sur le poteau sur sa droite mais la VAR l'a donné à retirer parce que plusieurs joueurs, dont des Allemands, étaient entrés dans la surface.
Avec une force de caractère notable, Havertz a retiré le pénalty presque exactement au même endroit mais cette fois dedans (2-0, 53e). Dortmund pourra regretter les deux belles parades de Kepa sur un coup-franc de Marco Reus à 20 mètres (17e) et une frappe de Marius Wolf (65e), ou la reprise trop décroisée de Jude Bellingham (58e).
Mais avec le même nombre de tirs (13) et de tirs cadrés (4), pour une fois, le réalisme a été côté Chelsea pour qui la Ligue des champions est maintenant un objectif majeur, avec sa 10e place en championnat.
AFP
Pour Dortmund, qui avait remporté ses 10 matches depuis le retour du Mondial, le retour sur terre peut paraître sévère, mais sur l'ensemble des deux matches, il n'y a pas à crier à l'injustice. A l'aller déjà, les Londoniens s'étaient créé plusieurs belles occasions, notamment une frappe sur la barre de Joao Felix, et ce manque de réussite a encore rythmé le plus clair de la première période.
Après un coup d'envoi repoussé de dix minutes, en raison des difficultés d'accès du Borussia au stade, les Allemands ont compris rapidement que la soirée serait compliquée. Non seulement leurs adversaires ont attaqué le match pied au plancher mais ils ont perdu, dès la 5e minute de jeu, l'un de leurs atouts offensifs majeurs avec la blessure à une cuisse de Julian Brandt.
Mais cela n'enlève rien au mérite de Chelsea, qui a fait tout ce qu'il fallait pour l'emporter devant un Potter parfois critiqué pour son côté trop placide et qui, cette fois, a agité les bras pour donner des directives ou encourager le public à être plus bruyant.
Dès la 6e minute, Joao Felix a forcé Alexander Meyer qui remplaçait Gregor Kobel dans les cages, à une sortie dans ses pieds, avant que Emre Can, d'une poussette dans le dos ne déséquilibre Kai Havertz au moment de sa frappe, qui n'a trouvé que le petit filet extérieur (8e). L'Allemand, symbole des problèmes offensifs de son équipe, a encore trouvé le poteau à la 28e et quand il a mis le ballon dans la lucarne adverse, dix minutes plus tard, il a vu dans la foulée son but annulé pour un hors-jeu de Raheem Sterling au départ.
Un pénalty décisif à rebondissements
Pressé sur son but, Dortmund a été tout heureux de voir Kalidou Koulibaly rater sa reprise à cinq mètres de la ligne, avant que Meyer ne s'interpose encore devant Felix (40e). Mais les Blues ont fini par percer le verrou adverse quand la chance leur a enfin souri avec deux contres favorables dans la surface de réparation pour Sterling qui a ensuite catapulté la balle au fond des filets de l'extérieur (1-0, 43e).
Au retour des vestiaires, Chelsea est reparti de plus belle à l'assaut et a obtenu un pénalty dès les premières secondes pour une main adverse, après visionnage des images par l'arbitre sur le bord du terrain. Havertz l'a d'abord envoyé sur le poteau sur sa droite mais la VAR l'a donné à retirer parce que plusieurs joueurs, dont des Allemands, étaient entrés dans la surface.
Avec une force de caractère notable, Havertz a retiré le pénalty presque exactement au même endroit mais cette fois dedans (2-0, 53e). Dortmund pourra regretter les deux belles parades de Kepa sur un coup-franc de Marco Reus à 20 mètres (17e) et une frappe de Marius Wolf (65e), ou la reprise trop décroisée de Jude Bellingham (58e).
Mais avec le même nombre de tirs (13) et de tirs cadrés (4), pour une fois, le réalisme a été côté Chelsea pour qui la Ligue des champions est maintenant un objectif majeur, avec sa 10e place en championnat.
AFP
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