Le président du Conseil national pour la levée de l’occupation iranienne, l’ancien député Farès Souhaid, a appelé les parties souverainistes libanaises à s’unir et à élaborer un discours clair, basé sur la Constitution, l’accord de Taëf et l’arabité du Liban, afin de peser dans la balance, à la lumière du rapprochement saoudo-iranien.
Dans un entretien dimanche avec la LBCI, M. Souhaid a souligné que les Forces libanaises, les Kataëb, le Parti socialiste progressiste, le Renouveau et les indépendants souverainistes devraient clairement définir une position unifiée, et appuyer la candidature du député Michel Moawad. « Le choix au niveau de la présidentielle se pose entre une option libanaise arabe, incarnée de la meilleure façon par Michel Moawad, et l’option de la consécration de l’influence iranienne au Liban, à travers la candidature de Sleiman Frangié », a-t-il martelé.
« Les influences des puissances régionales sont en train d’être redessinées, et ce grand développement aura un grand impact sur le Liban », a souligné l’ancien député, qui a expliqué que les conséquences de l’accord entre Riyad et Téhéran apparaitront d’abord au Yémen, puis dans le dossier nucléaire, avant de se clarifier au Liban, « ce qui donne aux forces souverainistes le temps de se rassembler et d'élaborer un narratif précis et unifié».
Dans un entretien dimanche avec la LBCI, M. Souhaid a souligné que les Forces libanaises, les Kataëb, le Parti socialiste progressiste, le Renouveau et les indépendants souverainistes devraient clairement définir une position unifiée, et appuyer la candidature du député Michel Moawad. « Le choix au niveau de la présidentielle se pose entre une option libanaise arabe, incarnée de la meilleure façon par Michel Moawad, et l’option de la consécration de l’influence iranienne au Liban, à travers la candidature de Sleiman Frangié », a-t-il martelé.
« Les influences des puissances régionales sont en train d’être redessinées, et ce grand développement aura un grand impact sur le Liban », a souligné l’ancien député, qui a expliqué que les conséquences de l’accord entre Riyad et Téhéran apparaitront d’abord au Yémen, puis dans le dossier nucléaire, avant de se clarifier au Liban, « ce qui donne aux forces souverainistes le temps de se rassembler et d'élaborer un narratif précis et unifié».
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