Après son entretien avec le pape François, le Premier ministre sortant Najib Mikati a tenu une réunion avec son homologue italienne, Giorgia Meloni.
Après avoir été reçu par le pape François au Saint-Siège plus tôt dans la journée, le Premier ministre sortant Najib Mikati a eu un entretien au Palais Chigi dans l’après-midi avec son homologue italienne, Giorgia Meloni, qui a soulevé avec lui la question de l’immigration clandestine.
Mme Meloni a ainsi insisté sur «l’importance de la coordination entre les deux États afin d’instaurer le calme dans le bassin méditerranéen et de freiner l’immigration clandestine».
Depuis le début de la crise en 2019, l’immigration clandestine à partir du Liban est devenu un phénomène inquiétant. Des centaines de Libanais et de réfugiés syriens embarquent sur des bateaux de fortune dans l’espoir d’atteindre les côtes italiennes. Des dizaines ont trouvé la mort en essayant de fuir l’enfer libanais. Et s’ils choisissent l’Italie comme destination, c’est parce que ce pays ne refoule pas les réfugiés.
Les discussions entre M. Mikati et Mme Meloni ont eu lieu en présence du conseiller diplomatique de la présidence italienne du Conseil, Francisco Maria Talo, et de la directrice du bureau de la présidence du Conseil Patrizia Scurti. Côté libanais, M. Mikati était accompagné de l’ambassadrice du Liban à Rome, Mira Daher, et de ses conseillers Ziad Mikati et l’ambassadeur Boutros Assaker.
Les relations historiques libano-italiennes ont été passées en revue durant l’entretien. M. Mikati a remercié son hôte pour le soutien de son pays au Liban à travers notamment la participation du contingent italien à la Finul, mais aussi pour son aide à l’armée et aux secteurs de la santé et du développement durable et social. Le Premier ministre sortant l’aurait également conviée à se rendre au Liban pour poursuivre leurs échanges.
Quant à Mme Meloni, elle a remercié M. Mikati pour «les relations transparentes qui lient l’Italie et le Liban». Elle a exprimé sa satisfaction au sujet du fait que la compagnie Eni fait partie du consortium des sociétés pétrolières qui exploiteront les gisements libanais en Méditerranée. Mme Meloni a en outre invité d’autres sociétés italiennes à investir au Liban.
Dans la matinée, M. Mikati avait été reçu par le pape François. Le souverain pontife a souligné devant son hôte que «les responsables libanais doivent collaborer pour sortir leur pays de la crise et élire un nouveau président».
Cité par M. Mikati au terme de l’entretien, le pape a également «réaffirmé sa foi dans le message du Liban à travers le pluralisme multiculturel et religieux qui le caractérise et le rend unique dans la région».
Après avoir été reçu par le pape François au Saint-Siège plus tôt dans la journée, le Premier ministre sortant Najib Mikati a eu un entretien au Palais Chigi dans l’après-midi avec son homologue italienne, Giorgia Meloni, qui a soulevé avec lui la question de l’immigration clandestine.
Mme Meloni a ainsi insisté sur «l’importance de la coordination entre les deux États afin d’instaurer le calme dans le bassin méditerranéen et de freiner l’immigration clandestine».
Depuis le début de la crise en 2019, l’immigration clandestine à partir du Liban est devenu un phénomène inquiétant. Des centaines de Libanais et de réfugiés syriens embarquent sur des bateaux de fortune dans l’espoir d’atteindre les côtes italiennes. Des dizaines ont trouvé la mort en essayant de fuir l’enfer libanais. Et s’ils choisissent l’Italie comme destination, c’est parce que ce pays ne refoule pas les réfugiés.
Les discussions entre M. Mikati et Mme Meloni ont eu lieu en présence du conseiller diplomatique de la présidence italienne du Conseil, Francisco Maria Talo, et de la directrice du bureau de la présidence du Conseil Patrizia Scurti. Côté libanais, M. Mikati était accompagné de l’ambassadrice du Liban à Rome, Mira Daher, et de ses conseillers Ziad Mikati et l’ambassadeur Boutros Assaker.
Les relations historiques libano-italiennes ont été passées en revue durant l’entretien. M. Mikati a remercié son hôte pour le soutien de son pays au Liban à travers notamment la participation du contingent italien à la Finul, mais aussi pour son aide à l’armée et aux secteurs de la santé et du développement durable et social. Le Premier ministre sortant l’aurait également conviée à se rendre au Liban pour poursuivre leurs échanges.
Quant à Mme Meloni, elle a remercié M. Mikati pour «les relations transparentes qui lient l’Italie et le Liban». Elle a exprimé sa satisfaction au sujet du fait que la compagnie Eni fait partie du consortium des sociétés pétrolières qui exploiteront les gisements libanais en Méditerranée. Mme Meloni a en outre invité d’autres sociétés italiennes à investir au Liban.
Dans la matinée, M. Mikati avait été reçu par le pape François. Le souverain pontife a souligné devant son hôte que «les responsables libanais doivent collaborer pour sortir leur pays de la crise et élire un nouveau président».
Cité par M. Mikati au terme de l’entretien, le pape a également «réaffirmé sa foi dans le message du Liban à travers le pluralisme multiculturel et religieux qui le caractérise et le rend unique dans la région».
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