Le Courant patriotique libre a estimé mardi que «l’instabilité du taux de change constitue un crime qui permet à certains individus de générer des gains illégaux, alors que la plupart des Libanais perçoivent leurs salaires en livres libanaises».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le parti aouniste s’en est pris, comme à son habitude, au gouvernement chargé de l’expédition des affaires courantes et au gouvernorat de la Banque centrale, voulant à tout prix leur faire assumer la responsabilité de la dévaluation de la livre. «Le CPL a toujours été soucieux des problèmes des gens et restera à leurs côtés pour défendre leurs droits», peut-on lire dans le texte.
Des promesses aussi populistes que mensongères, que se contente de réitérer le chef de la formation, Gebran Bassil, pour camoufler les échecs abyssaux du mandat présidentiel de son beau-père, Michel Aoun, qui ont plongé le pays dans le gouffre.
Le député de Batroun a par ailleurs opportunément omis de mentionner l’acharnement du CPL contre le secteur bancaire, dans le but de servir ses intérêts personnels et faciliter sa mainmise sur le pays, en ayant recours à des groupuscules obscurs qui revendiquent la préservation des droits des déposants et en orchestrant une chasse aux sorcières présidée par la procureure générale près la cour d’appel du Mont-Liban, Ghada Aoun, réputée pour être l’antithèse de la déontologie.
Le parti aouniste a aussi voulu donner des leçons et jouer au grand défenseur des valeurs nationales et de la Constitution, alors qu’il est l’un des principaux protagonistes qui bloquent l’échéance présidentielle, en affirmant qu’«il boycottera les séances législatives – si elles ont lieu – tant qu’un président de la République n’est pas élu, et n’acceptera d’y participer qu’en cas de circonstances exceptionnelles ou pour des raisons d’intérêt national».
M. Bassil, pourquoi ne participez-vous pas aux séances électorales? Élire un président ne relève pas, d’après vous, de l’intérêt national?
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le parti aouniste s’en est pris, comme à son habitude, au gouvernement chargé de l’expédition des affaires courantes et au gouvernorat de la Banque centrale, voulant à tout prix leur faire assumer la responsabilité de la dévaluation de la livre. «Le CPL a toujours été soucieux des problèmes des gens et restera à leurs côtés pour défendre leurs droits», peut-on lire dans le texte.
Des promesses aussi populistes que mensongères, que se contente de réitérer le chef de la formation, Gebran Bassil, pour camoufler les échecs abyssaux du mandat présidentiel de son beau-père, Michel Aoun, qui ont plongé le pays dans le gouffre.
Le député de Batroun a par ailleurs opportunément omis de mentionner l’acharnement du CPL contre le secteur bancaire, dans le but de servir ses intérêts personnels et faciliter sa mainmise sur le pays, en ayant recours à des groupuscules obscurs qui revendiquent la préservation des droits des déposants et en orchestrant une chasse aux sorcières présidée par la procureure générale près la cour d’appel du Mont-Liban, Ghada Aoun, réputée pour être l’antithèse de la déontologie.
Le parti aouniste a aussi voulu donner des leçons et jouer au grand défenseur des valeurs nationales et de la Constitution, alors qu’il est l’un des principaux protagonistes qui bloquent l’échéance présidentielle, en affirmant qu’«il boycottera les séances législatives – si elles ont lieu – tant qu’un président de la République n’est pas élu, et n’acceptera d’y participer qu’en cas de circonstances exceptionnelles ou pour des raisons d’intérêt national».
M. Bassil, pourquoi ne participez-vous pas aux séances électorales? Élire un président ne relève pas, d’après vous, de l’intérêt national?
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