Le commandant en chef de la Finul, le général Aroldo Lazaro Sáenz, a présidé jeudi une réunion tripartite régulière entre le Liban et Israël au siège des Nations unies à Ras Naqoura, au Liban-Sud.
Le général Lazaro a appelé les deux parties à coordonner en amont avec la Finul leurs activités à proximité de la Ligne bleue, pour éviter les tensions. Il a estimé dans ce cadre que "chaque incident pourrait mener à une dangereuse escalade et chaque partie doit assumer la responsabilité de prendre des mesures préventives afin d’éviter la violation de l’arrêt des hostilités".
L'officier a "dénoncé les activités qui peuvent dégénérer comme le fait de pointer des armes (en direction d’un côté ou de l’autre de la frontière), les tirs, les jets de lasers et de pierre qui se sont poursuivis, selon lui, malgré ses demandes répétées de mettre un terme à ces pratiques. Il a appelé à "profiter au besoin des ressources dont dispose la Finul pour éviter les tensions comme celles qui se sont produites récemment", en allusion notamment à la tension née du fait qu’une patrouille israélienne avait franchi au début du mois de mars la Ligne bleue au niveau du village de Aïta el-Chaab. À la mi-mars, Israël avait abattu non loin de Haïfa, un individu portant une ceinture explosive. Il serait venu du Liban, selon Tel-Aviv.
Selon le général Lazaro, c’est "le manque de précision de La ligne bleue, à certains points, qui contribue aux tensions".
Le général Lazaro a appelé les deux parties à coordonner en amont avec la Finul leurs activités à proximité de la Ligne bleue, pour éviter les tensions. Il a estimé dans ce cadre que "chaque incident pourrait mener à une dangereuse escalade et chaque partie doit assumer la responsabilité de prendre des mesures préventives afin d’éviter la violation de l’arrêt des hostilités".
L'officier a "dénoncé les activités qui peuvent dégénérer comme le fait de pointer des armes (en direction d’un côté ou de l’autre de la frontière), les tirs, les jets de lasers et de pierre qui se sont poursuivis, selon lui, malgré ses demandes répétées de mettre un terme à ces pratiques. Il a appelé à "profiter au besoin des ressources dont dispose la Finul pour éviter les tensions comme celles qui se sont produites récemment", en allusion notamment à la tension née du fait qu’une patrouille israélienne avait franchi au début du mois de mars la Ligne bleue au niveau du village de Aïta el-Chaab. À la mi-mars, Israël avait abattu non loin de Haïfa, un individu portant une ceinture explosive. Il serait venu du Liban, selon Tel-Aviv.
Selon le général Lazaro, c’est "le manque de précision de La ligne bleue, à certains points, qui contribue aux tensions".
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