En visite dans la ville martyre de Boutcha, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a juré de vaincre le "mal russe". Il a en outre promis de "punir tous les coupables" du massacre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a juré vendredi de vaincre le "mal russe" à l'occasion du premier anniversaire du retrait russe de Boutcha, ville martyre devenue un symbole criant "des atrocités" imputées aux troupes de Moscou.
De son côté, Vladimir Poutine a signé un décret validant une nouvelle doctrine de politique étrangère, et qui, selon son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov souligne "la nature existentielle des menaces" occidentales visant la Russie.
Le président ukrainien a lui, depuis Boutcha promis la victoire aux siens après avoir plus tôt dans la journée, juré de "punir tous les coupables" du massacre.
"Nous allons gagner c'est certain, le mal russe tombera, justement ici en Ukraine et ne pourra plus se relever", a-t-il martelé depuis cette banlieue de Kiev devant les Premiers ministres croate Andrej Plenkovic, slovaque Eduard Heger, slovène Robert Golob et la présidente moldave Maia Sandu.
Le 31 mars 2022, l'armée russe se retirait de la région de Kiev, un mois après avoir lancé l'invasion du pays sur ordre du président Vladimir Poutine. Deux jours après le retrait, le massacre était connu.
Des journalistes de l'AFP ont découvert à Boutcha le 2 avril des carcasses calcinées de véhicules, des maisons détruites et surtout, éparpillés sur plusieurs centaines de mètres, les cadavres de vingt hommes en civil, dont l'un avait les mains liées dans le dos.
Lors de sa visite sur place deux jours après la découverte, le président Zelensky, visiblement bouleversé, avait dénoncé "des crimes de guerre" qui seront "reconnus par le monde comme un génocide".
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a juré vendredi de vaincre le "mal russe" à l'occasion du premier anniversaire du retrait russe de Boutcha, ville martyre devenue un symbole criant "des atrocités" imputées aux troupes de Moscou.
De son côté, Vladimir Poutine a signé un décret validant une nouvelle doctrine de politique étrangère, et qui, selon son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov souligne "la nature existentielle des menaces" occidentales visant la Russie.
Le président ukrainien a lui, depuis Boutcha promis la victoire aux siens après avoir plus tôt dans la journée, juré de "punir tous les coupables" du massacre.
"Nous allons gagner c'est certain, le mal russe tombera, justement ici en Ukraine et ne pourra plus se relever", a-t-il martelé depuis cette banlieue de Kiev devant les Premiers ministres croate Andrej Plenkovic, slovaque Eduard Heger, slovène Robert Golob et la présidente moldave Maia Sandu.
Le 31 mars 2022, l'armée russe se retirait de la région de Kiev, un mois après avoir lancé l'invasion du pays sur ordre du président Vladimir Poutine. Deux jours après le retrait, le massacre était connu.
Des journalistes de l'AFP ont découvert à Boutcha le 2 avril des carcasses calcinées de véhicules, des maisons détruites et surtout, éparpillés sur plusieurs centaines de mètres, les cadavres de vingt hommes en civil, dont l'un avait les mains liées dans le dos.
Lors de sa visite sur place deux jours après la découverte, le président Zelensky, visiblement bouleversé, avait dénoncé "des crimes de guerre" qui seront "reconnus par le monde comme un génocide".
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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