Voilà plus de 7 années que Léa Baroudi est parvenue à réunir dans une pièce de théâtre, “Guerre et Amour sur le toit”, des anciens combattants des deux quartiers autrefois ennemis de Tripoli: Jabal Mohsen, principalement alaouite et Beb el-Tebbaneh, à majorité sunnite.
Une partie de la jeunesse de ces deux quartiers se retrouve depuis 2016 à Kahwetna, “notre café” en arabe. Ce centre culturel et lieu de convivialité a su donner un nouveau visage à la rue de Syrie, l’ancienne ligne de démarcation encore marquée par les divers conflits qui ont éclaté depuis les années 1980.
Si de nombreux projets ont déjà été réalisés, à l’instar de BEDCO, Kan Ya Makan, ainsi que de nombreuses initiatives de projets en collaboration avec l’armée libanaise, les jeunes bénéficiaires de l’ONG MARCH, hommes et femmes, ne comptent pas s’arrêter là.
Certains bénéficiaires de MARCH n'ont pas fait que lutter dans la “petite guerre” entre quartiers. Certains ont été happés par les “guerres des autres” dénoncées par le sociologue Michel Seurat, et sont partis en Afghanistan, en Irak, ou en Syrie.
Après leur retour et la case prison, ceux qui ont intégré l’ONG MARCH sont aujourd’hui menuisiers peintres en bâtiments, “trainers” ou encore fashion designers. De quoi faire de l’association un exemple de pax tripolitana pour le reste de la Méditerranée.
Une partie de la jeunesse de ces deux quartiers se retrouve depuis 2016 à Kahwetna, “notre café” en arabe. Ce centre culturel et lieu de convivialité a su donner un nouveau visage à la rue de Syrie, l’ancienne ligne de démarcation encore marquée par les divers conflits qui ont éclaté depuis les années 1980.
Si de nombreux projets ont déjà été réalisés, à l’instar de BEDCO, Kan Ya Makan, ainsi que de nombreuses initiatives de projets en collaboration avec l’armée libanaise, les jeunes bénéficiaires de l’ONG MARCH, hommes et femmes, ne comptent pas s’arrêter là.
Certains bénéficiaires de MARCH n'ont pas fait que lutter dans la “petite guerre” entre quartiers. Certains ont été happés par les “guerres des autres” dénoncées par le sociologue Michel Seurat, et sont partis en Afghanistan, en Irak, ou en Syrie.
Après leur retour et la case prison, ceux qui ont intégré l’ONG MARCH sont aujourd’hui menuisiers peintres en bâtiments, “trainers” ou encore fashion designers. De quoi faire de l’association un exemple de pax tripolitana pour le reste de la Méditerranée.
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