Quarante-huit ans que la capitale porte les stigmates de la guerre du Liban. De Hamra à Monnot, en passant par Achrafieh et Sodeco, les édifices abandonnés sont autant de propriétés sans futur, à la valeur patrimoniale niée. Certains sont devenus des icônes de Beyrouth: la statue de la Place des Martyrs, ou encore la Maison Jaune devenue un centre culturel urbain sur l’ancien “no man’s land” qui séparait les différentes milices.
Par delà les années 1975-1990, les vestiges de cette époque côtoient également les séquelles d’autres destructions. La guerre de 2006, l’occupation militaire de Beyrouth par le Hezbollah en 2008, entre autres, et la double-explosion du port en août 2020 rappellent que la destruction du Liban est un processus qui se poursuit depuis des décennies.
Par delà les années 1975-1990, les vestiges de cette époque côtoient également les séquelles d’autres destructions. La guerre de 2006, l’occupation militaire de Beyrouth par le Hezbollah en 2008, entre autres, et la double-explosion du port en août 2020 rappellent que la destruction du Liban est un processus qui se poursuit depuis des décennies.
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